Ô Bistro de Lavaux
Au Bistro de Lavaux, on fait travailler la mémoire du client. En buvant un très joli sauvignon blanc et en croquant dans des rillettes de poisson à la moutarde en grains, on écoute ce qu’on pourra manger. La table s’amuse ensuite à reconstituer ce qui a été entendu.
La première assiette est couleur tuile. Elle est belle. Au milieu d’un petit lac mince et blanc d’un séré crémeux, on trouve de la sériole en tartare aux notes de citron et radis bière qui assure le croquant. Dessus, la chair du même poisson marinée et séchée façon gravlax a un petit côté ciré. C’est débordant de fraîcheur.
Le «deux façons» continue avec les Saint-Jacques bretonnes. Rôties, elles restent fermes sans devenir caoutchouteuses. En carpaccio, crues, elles magnifient la qualité du produit. Un jus de bisque et un riz venere croquant accompagnent tout ça. Simple et bon.
Autre duo, celui de bœuf. Le filet de simmental n’arrive pas selon la cuisson demandée. Et la qualité de la viande n’est pas la même pour tous les convives. Un bémol que vient compenser ce joli confit de wagyu qui réinvente l’atriau et une purée de pommes de terre, fine et beurrée, bordée d’une sauce aux champignons et d’un petit fagot de légumes cuits ad minima et enroulés dans une feuille de côte de bette. La côte de veau rassise chez Nardi, à Cully, est gourmande et juteuse.
Jolie petite sélection de fromages sur assiette, servis un peu trop froid, qui permettent de se replonger dans une belle carte des vins qui fait la part belle, notamment, aux crus alémaniques et valaisans avec de bons conseils. Les desserts – dont un moelleux au chocolat noir et puissant et un joli trio de gourmandises avec le café – sont à l’avenant.
Au Bistro de Lavaux, on fait travailler la mémoire du client. En buvant un très joli sauvignon blanc et en croquant dans des rillettes de poisson à la moutarde en grains, on écoute ce qu’on pourra manger. La table s’amuse ensuite à reconstituer ce qui a été entendu.
La première assiette est couleur tuile. Elle est belle. Au milieu d’un petit lac mince et blanc d’un séré crémeux, on trouve de la sériole en tartare aux notes de citron et radis bière qui assure le croquant. Dessus, la chair du même poisson marinée et séchée façon gravlax a un petit côté ciré. C’est débordant de fraîcheur.
Le «deux façons» continue avec les Saint-Jacques bretonnes. Rôties, elles restent fermes sans devenir caoutchouteuses. En carpaccio, crues, elles magnifient la qualité du produit. Un jus de bisque et un riz venere croquant accompagnent tout ça. Simple et bon.
Autre duo, celui de bœuf. Le filet de simmental n’arrive pas selon la cuisson demandée. Et la qualité de la viande n’est pas la même pour tous les convives. Un bémol que vient compenser ce joli confit de wagyu qui réinvente l’atriau et une purée de pommes de terre, fine et beurrée, bordée d’une sauce aux champignons et d’un petit fagot de légumes cuits ad minima et enroulés dans une feuille de côte de bette. La côte de veau rassise chez Nardi, à Cully, est gourmande et juteuse.
Jolie petite sélection de fromages sur assiette, servis un peu trop froid, qui permettent de se replonger dans une belle carte des vins qui fait la part belle, notamment, aux crus alémaniques et valaisans avec de bons conseils. Les desserts – dont un moelleux au chocolat noir et puissant et un joli trio de gourmandises avec le café – sont à l’avenant.