Ô Bistro de Lavaux
Ici, plus de carte à feuilleter pour se laisser inspirer par les propositions du moment. Ce sont la brigade de salle ou le chef en personne qui passent dans les rangs et racontent les énoncés aux clients. Seule subsiste la carte des vins, richement dotée de crus des bords du Léman, à gauche et à droite de la capitale, de vignobles suisses ou d’ailleurs. A la belle saison, un majestueux braséro trône en bordure de terrasse. On peut ainsi apprécier le ballet agile des cuisiniers et profiter des effluves qui flottent dans l’air.
Une dizaine de pimientos del padrón grillés au feu de bois précèdent un tartare de loup de mer ravigotant et bien assaisonné, accompagné d’une langoustine malheureusement trop cuite, ayant perdu la tenue et la mâche. Une feuille de dentelle rouge pimente le plat de sa couleur tonique. En guise d’entrée chaude, l’escalope de foie gras parfaitement grillée s’accommode à merveille de ces ris de veau tendres et savoureux que de la mousseline de pommes de terre et des chanterelles fraîches sous leur espuma délicatement parfumée aux champignons accompagnent.
Parfaitement grillée et tendre, l’entrecôte de bœuf aurait supporté un soupçon d’assaisonnement supplémentaire pour en faire un mets totalement abouti. Une belle palette de légumes colorés avec à sa tête cette sucrine saisie sur le gril OFYR charme l’œil de son dressage graphique.
Les becs à sucre restent malheureusement un peu sur leur faim en matière de desserts. Malgré tout l’enthousiasme engagé par le serveur pour nous les présenter, ils restent simples, à l’instar de cette crème brûlée ou de ce petit financier coupé en quatre accompagné de quelques fraises et d’une boule de glace au citron. Nous souhaitons au patron de trouver de l’inspiration pour étoffer la carte de quelques suggestions originales.
Cela ne devrait pas être difficile tant l’endroit est charmant et verdoyant, la terrasse accueillante et la vue magnifique sur un coin de lac et les Alpes de Savoie au loin.
Ici, plus de carte à feuilleter pour se laisser inspirer par les propositions du moment. Ce sont la brigade de salle ou le chef en personne qui passent dans les rangs et racontent les énoncés aux clients. Seule subsiste la carte des vins, richement dotée de crus des bords du Léman, à gauche et à droite de la capitale, de vignobles suisses ou d’ailleurs. A la belle saison, un majestueux braséro trône en bordure de terrasse. On peut ainsi apprécier le ballet agile des cuisiniers et profiter des effluves qui flottent dans l’air.
Une dizaine de pimientos del padrón grillés au feu de bois précèdent un tartare de loup de mer ravigotant et bien assaisonné, accompagné d’une langoustine malheureusement trop cuite, ayant perdu la tenue et la mâche. Une feuille de dentelle rouge pimente le plat de sa couleur tonique. En guise d’entrée chaude, l’escalope de foie gras parfaitement grillée s’accommode à merveille de ces ris de veau tendres et savoureux que de la mousseline de pommes de terre et des chanterelles fraîches sous leur espuma délicatement parfumée aux champignons accompagnent.
Parfaitement grillée et tendre, l’entrecôte de bœuf aurait supporté un soupçon d’assaisonnement supplémentaire pour en faire un mets totalement abouti. Une belle palette de légumes colorés avec à sa tête cette sucrine saisie sur le gril OFYR charme l’œil de son dressage graphique.
Les becs à sucre restent malheureusement un peu sur leur faim en matière de desserts. Malgré tout l’enthousiasme engagé par le serveur pour nous les présenter, ils restent simples, à l’instar de cette crème brûlée ou de ce petit financier coupé en quatre accompagné de quelques fraises et d’une boule de glace au citron. Nous souhaitons au patron de trouver de l’inspiration pour étoffer la carte de quelques suggestions originales.
Cela ne devrait pas être difficile tant l’endroit est charmant et verdoyant, la terrasse accueillante et la vue magnifique sur un coin de lac et les Alpes de Savoie au loin.