Mont-Rouge
Le bois du décor accueille avec chaleur les rayons du soleil. Le chef Loris Lathion converse pour préparer son service de midi. Les tables laissent de l’espace entre les clients. On nous sert avec un égal bonheur un gin sans alcool Ceder’s Classic avec son doux parfum d’églantine et un verre du rare Magnificents’12 à la noble amertume, cuvée d’arvine et de viognier de Jean-Claude Favre.
Dans l’assiette colorée, le saku de thon repose sur une fine pissaladière servie avec du wakamé et une crème acidulée. Les goûts glissent sur le palais. La semaine de notre visite, le restaurant honore les AOP et propose un cannelloni de saucisse aux choux, pousses d’épinards et émulsion à l’ail doux. La cuisson très molle de la pâte surprend, on dirait un flan. Mais l’équilibre de la farce enrobe le tout. Les épinards rafraîchissent un plat trop gras. Sur ce menu spécial, on précise aussi qui cuisine les plats. L’apprenti et son maki de lotte figurent au programme. Sur la carte, Loris Lathion évoque sa Dream Team, une façon de valoriser l’ensemble du personnel. L’arrivée des plats renforce l’impression de cuisine de bonne auberge. Impeccable cuisson du veau à la ficelle, de ses légumes de saison et bonne idée que de servir le jus de cuisson dans une théière, qui revivifie cette copieuse proposition. La lotte dans son jus de tomates et poivrons donne des airs printaniers. Un peu caoutchouteux de prime abord, le poisson se révèle finalement croquant. La sauce relevée lui donne de l’élan. Cela nous rappelle des plats de grand-mère, dommage que le riz soit sans fantaisie.
Ce repas au service soigné se termine par un cheesecake à la mandarine, moelleux et croquant. Par contre, on ne comprend pas ce sorbet à la noix de coco censé l’accompagner. En repartant, on garde en tête la longueur de certains plats et un palais tranquillisé par cette cuisine simple et goûteuse.
Le bois du décor accueille avec chaleur les rayons du soleil. Le chef Loris Lathion converse pour préparer son service de midi. Les tables laissent de l’espace entre les clients. On nous sert avec un égal bonheur un gin sans alcool Ceder’s Classic avec son doux parfum d’églantine et un verre du rare Magnificents’12 à la noble amertume, cuvée d’arvine et de viognier de Jean-Claude Favre.
Dans l’assiette colorée, le saku de thon repose sur une fine pissaladière servie avec du wakamé et une crème acidulée. Les goûts glissent sur le palais. La semaine de notre visite, le restaurant honore les AOP et propose un cannelloni de saucisse aux choux, pousses d’épinards et émulsion à l’ail doux. La cuisson très molle de la pâte surprend, on dirait un flan. Mais l’équilibre de la farce enrobe le tout. Les épinards rafraîchissent un plat trop gras. Sur ce menu spécial, on précise aussi qui cuisine les plats. L’apprenti et son maki de lotte figurent au programme. Sur la carte, Loris Lathion évoque sa Dream Team, une façon de valoriser l’ensemble du personnel. L’arrivée des plats renforce l’impression de cuisine de bonne auberge. Impeccable cuisson du veau à la ficelle, de ses légumes de saison et bonne idée que de servir le jus de cuisson dans une théière, qui revivifie cette copieuse proposition. La lotte dans son jus de tomates et poivrons donne des airs printaniers. Un peu caoutchouteux de prime abord, le poisson se révèle finalement croquant. La sauce relevée lui donne de l’élan. Cela nous rappelle des plats de grand-mère, dommage que le riz soit sans fantaisie.
Ce repas au service soigné se termine par un cheesecake à la mandarine, moelleux et croquant. Par contre, on ne comprend pas ce sorbet à la noix de coco censé l’accompagner. En repartant, on garde en tête la longueur de certains plats et un palais tranquillisé par cette cuisine simple et goûteuse.