Mont-Rouge
«Un repas sans vin, ça s’appelle un déjeuner!» Cette maxime figure sur un tableau suspendu dans la rustique mais charmante salle à manger où bois, briques et pierres se mélangent. Elle se vérifie sitôt que l’on est attablé. Chez Loris Lathion, l’apéro est sacré et les crus vont de Martigny à Miège, en passant par Fully et Vétroz. Le tout à des prix compétitifs. Heureusement que le Mont-Rouge – ainsi nommé d’après la montagne surplombant la station – bénéficie de quelques chambres en cas de nécessité!
Ici, le chef propose une cuisine du terroir sans fioriture à la carte et en menus. Ainsi la trilogie de foie gras de canard se déguste poêlée, en terrine et, plus originale, en crème brûlée parfaitement caramélisée. Servi avec un sashimi de thon relevé d’une pointe de wasabi, le flan de petits pois déçoit par sa consistance, proche de celle d’une crème. Les viandes, elles, bénéficient de cuissons idéales. Le cœur de filet de bœuf grillé est accompagné d’asperges vertes croquantes et de généreuses morilles. Quant à l’agneau du val Ferret, il se présente sous forme de couscous avec épaule braisée et rack rôti en croûte. On s’autorise même à tremper le pain reçu en début de repas dans le jus de cuisson!
Le dessert est une réussite. Crème à la pistache et morceaux de fraises reposent sur un moelleux aux amandes pas trop sucré. Le tout bonifié par l’acidité d’une compote de rhubarbe. Enfin, café et abricotine se savoureront – si la température le permet à cette altitude – sur l’agréable terrasse.


«Un repas sans vin, ça s’appelle un déjeuner!» Cette maxime figure sur un tableau suspendu dans la rustique mais charmante salle à manger où bois, briques et pierres se mélangent. Elle se vérifie sitôt que l’on est attablé. Chez Loris Lathion, l’apéro est sacré et les crus vont de Martigny à Miège, en passant par Fully et Vétroz. Le tout à des prix compétitifs. Heureusement que le Mont-Rouge – ainsi nommé d’après la montagne surplombant la station – bénéficie de quelques chambres en cas de nécessité!
Ici, le chef propose une cuisine du terroir sans fioriture à la carte et en menus. Ainsi la trilogie de foie gras de canard se déguste poêlée, en terrine et, plus originale, en crème brûlée parfaitement caramélisée. Servi avec un sashimi de thon relevé d’une pointe de wasabi, le flan de petits pois déçoit par sa consistance, proche de celle d’une crème. Les viandes, elles, bénéficient de cuissons idéales. Le cœur de filet de bœuf grillé est accompagné d’asperges vertes croquantes et de généreuses morilles. Quant à l’agneau du val Ferret, il se présente sous forme de couscous avec épaule braisée et rack rôti en croûte. On s’autorise même à tremper le pain reçu en début de repas dans le jus de cuisson!
Le dessert est une réussite. Crème à la pistache et morceaux de fraises reposent sur un moelleux aux amandes pas trop sucré. Le tout bonifié par l’acidité d’une compote de rhubarbe. Enfin, café et abricotine se savoureront – si la température le permet à cette altitude – sur l’agréable terrasse.