Monsieur Bouillon
Depuis un peu plus de deux ans, cette adresse de la galaxie de Philippe Chevrier (Domaine de Chateauvieux, 19/20) met en avant les produits avicoles. Dans la jolie salle du restaurant à la décoration très brasserie ou sur l’imposante terrasse ombragée aux beaux jours, les clients, nombreux (le lieu est très souvent complet!), viennent et reviennent pour les poulets et œufs sous toutes leurs formes. Il est même difficile de trouver un plat qui n’en contienne pas. Même le filet de dorade est rehaussé par un jus de volaille.
On débute par exemple avec un œuf poché en meurette, très réussi: le jaune coulant à souhait et le blanc d’une texture parfaite. La puissante sauce au gamaret qui l’accompagne reste longtemps en bouche.
Autre belle entrée, la salade de poulpe décline les tentacules légèrement croquants, relevés par une sauce chimichurri pimentée, le tout accompagné de quelques œufs de caille, certes jolis dans l’assiette mais qui, gustativement, n’apportent pas grand-chose au plat.
Le pâté en croûte maison arrive en belle tranche que le foie gras rend onctueuse et qu’une exquise salade de lentilles bien moutardée vient rehausser.
En plat principal, la milanaise de poulet est généreuse. La tranche bien croustillante est accompagnée de haricots verts croquants et de frites savoureuses.
En dessert, la carte est classique avec notamment une tarte au citron meringuée qui ne déçoit pas. Le service est professionnel et souriant et la carte des vins sait mettre en avant un beau choix de vins genevois.
Depuis un peu plus de deux ans, cette adresse de la galaxie de Philippe Chevrier (Domaine de Chateauvieux, 19/20) met en avant les produits avicoles. Dans la jolie salle du restaurant à la décoration très brasserie ou sur l’imposante terrasse ombragée aux beaux jours, les clients, nombreux (le lieu est très souvent complet!), viennent et reviennent pour les poulets et œufs sous toutes leurs formes. Il est même difficile de trouver un plat qui n’en contienne pas. Même le filet de dorade est rehaussé par un jus de volaille.
On débute par exemple avec un œuf poché en meurette, très réussi: le jaune coulant à souhait et le blanc d’une texture parfaite. La puissante sauce au gamaret qui l’accompagne reste longtemps en bouche.
Autre belle entrée, la salade de poulpe décline les tentacules légèrement croquants, relevés par une sauce chimichurri pimentée, le tout accompagné de quelques œufs de caille, certes jolis dans l’assiette mais qui, gustativement, n’apportent pas grand-chose au plat.
Le pâté en croûte maison arrive en belle tranche que le foie gras rend onctueuse et qu’une exquise salade de lentilles bien moutardée vient rehausser.
En plat principal, la milanaise de poulet est généreuse. La tranche bien croustillante est accompagnée de haricots verts croquants et de frites savoureuses.
En dessert, la carte est classique avec notamment une tarte au citron meringuée qui ne déçoit pas. Le service est professionnel et souriant et la carte des vins sait mettre en avant un beau choix de vins genevois.