
L'Étoile
Depuis l'été 2023, le chef Mickaël Cochet et sa compagne Azucena Canosa ont repris les rênes de cette Etoile. Déjà renommée au temps de la famille Mérillat, l’adresse reste remarquable. Le talent du chef, passé chez Marc Veyrat, se révèle sitôt l’assiette servie. Ainsi le gravlax de truite est fondant et subtilement parfumé. La chair délicate du poisson est en parfaite harmonie avec une ingénieuse combinaison de mangue, d'avocat, d'orange et de sésame noir; elle est escortée d’une salade de rampon, fraîche et croquante, qui apporte une touche herbacée bienvenue à ce bel ensemble.
Le magret de canard en croûte de pain d’épices est parfaitement rosé. Parée d’une croûte parfumée et délicatement sucrée, la viande est nappée d’une sauce à l’orange veloutée et raffinée, idéalement accompagnée d’un riz venere. Pour terminer, le baba au rhum coiffé de chantilly et saupoudré d’un grué de cacao est en retrait. Bien que techniquement irréprochable, il manque singulièrement de caractère avec son rhum excessivement dilué. Puis il faut déplorer un couac de taille: alors que nous avions expressément demandé lors de la réservation si la carte était identique côté gastro et côté bistrot, à notre arrivée, on nous a opposé une fin de non-recevoir pour la carte gastronomique… alors qu’à la table voisine deux convives recevaient une nappe blanche et l’un des deux menus gastronomiques.


Depuis l'été 2023, le chef Mickaël Cochet et sa compagne Azucena Canosa ont repris les rênes de cette Etoile. Déjà renommée au temps de la famille Mérillat, l’adresse reste remarquable. Le talent du chef, passé chez Marc Veyrat, se révèle sitôt l’assiette servie. Ainsi le gravlax de truite est fondant et subtilement parfumé. La chair délicate du poisson est en parfaite harmonie avec une ingénieuse combinaison de mangue, d'avocat, d'orange et de sésame noir; elle est escortée d’une salade de rampon, fraîche et croquante, qui apporte une touche herbacée bienvenue à ce bel ensemble.
Le magret de canard en croûte de pain d’épices est parfaitement rosé. Parée d’une croûte parfumée et délicatement sucrée, la viande est nappée d’une sauce à l’orange veloutée et raffinée, idéalement accompagnée d’un riz venere. Pour terminer, le baba au rhum coiffé de chantilly et saupoudré d’un grué de cacao est en retrait. Bien que techniquement irréprochable, il manque singulièrement de caractère avec son rhum excessivement dilué. Puis il faut déplorer un couac de taille: alors que nous avions expressément demandé lors de la réservation si la carte était identique côté gastro et côté bistrot, à notre arrivée, on nous a opposé une fin de non-recevoir pour la carte gastronomique… alors qu’à la table voisine deux convives recevaient une nappe blanche et l’un des deux menus gastronomiques.


