La Croix-Blanche
Sur les hauteurs de la vallée de Delémont, le jovial chef Alain Hauer propose une cuisine du terroir généreuse et originale.
Tout aussi accueillante que son chef, la salle joliment redécorée aux tons bleu canard invite à la détente et à la convivialité.
A la carte: mets de brasserie et plats plus inventifs avec le menu «Audace gourmande» qui embarque les convives d’une même table dans un voyage surprise selon l’inspiration du patron.
La première escale est étonnante avec cette composition de rutabaga en trois textures accompagnant un foie gras maison et une terrine de poularde persillée aux assaisonnements idéalement dosés. La ventrèche de skrei, un cabillaud d’hiver norvégien, qui suit est impeccablement cuite et relevée d’une exotique sauce au lait de coco. Les nouilles udon qui la jouxtent sont, elles, un brin surcuites.
La cuisson du filet de bœuf qui poursuit le voyage est impeccable. Malheureusement, les arômes d’une trop discrète sauce à la moutarde violette sont dissimulés. L’harmonie s’avère meilleure entre les accompagnements. En effet, la quenelle de picroute acidulée contraste judicieusement avec l’onctueux gratin de pommes de terre à la tomate.
L’atterrissage se fait tout en douceur avec un gâteau à la faisselle et à l’huile d’olive agrémenté d’une intense compote gingembre-pommes et d’un rafraîchissant sorbet maison au gin-fizz. Le service est chaleureux, à l’image du reste de l’établissement.
A noter également une carte des vins avec quelques beaux flacons et un aimable choix de crus au verre permettant de trouver à chaque plat son breuvage.
Sur les hauteurs de la vallée de Delémont, le jovial chef Alain Hauer propose une cuisine du terroir généreuse et originale.
Tout aussi accueillante que son chef, la salle joliment redécorée aux tons bleu canard invite à la détente et à la convivialité.
A la carte: mets de brasserie et plats plus inventifs avec le menu «Audace gourmande» qui embarque les convives d’une même table dans un voyage surprise selon l’inspiration du patron.
La première escale est étonnante avec cette composition de rutabaga en trois textures accompagnant un foie gras maison et une terrine de poularde persillée aux assaisonnements idéalement dosés. La ventrèche de skrei, un cabillaud d’hiver norvégien, qui suit est impeccablement cuite et relevée d’une exotique sauce au lait de coco. Les nouilles udon qui la jouxtent sont, elles, un brin surcuites.
La cuisson du filet de bœuf qui poursuit le voyage est impeccable. Malheureusement, les arômes d’une trop discrète sauce à la moutarde violette sont dissimulés. L’harmonie s’avère meilleure entre les accompagnements. En effet, la quenelle de picroute acidulée contraste judicieusement avec l’onctueux gratin de pommes de terre à la tomate.
L’atterrissage se fait tout en douceur avec un gâteau à la faisselle et à l’huile d’olive agrémenté d’une intense compote gingembre-pommes et d’un rafraîchissant sorbet maison au gin-fizz. Le service est chaleureux, à l’image du reste de l’établissement.
A noter également une carte des vins avec quelques beaux flacons et un aimable choix de crus au verre permettant de trouver à chaque plat son breuvage.