Le Paysan Horloger
Dans le hameau du Boéchet, les vaches disputent la vedette au petit train rouge des Chemins de fer du Jura. Dans ce cadre champêtre, le Paysan Horloger rend hommage au temps où, après les travaux des champs, le paysan franc-montagnard devenait un horloger à son établi.
Bastien Meyrat officie en cuisine depuis trois ans en compagnie de son épouse. Le duo propose trois menus dégustation, dont un végétarien, ainsi que des mets à la carte. Les dressages sont superbes, le service est chaleureux, compétent et particulièrement soigné. Dès la mise en bouche, le ton est donné: saveurs et textures complémentaires ouvrent les festivités. La truite du Jura, fumée et naturelle, se décline en une craquante mini-tartelette, puis en gelée escortée d’un incroyable bonbon de chocolat aux foies de volaille valaisanne. Puis la panna cotta d’asperges du Valais, accompagnée de truite fumée de Soubey, d'un mesclun sauvage et de caviar de balsamique, est coiffée d’une chips de parmesan de chez Sterchi. Le «Jardin extraordinaire», lui, est un véritable tableau sorti tout droit d’un conte de fées. Composé de terre d’olives, de radis sculpté en forme de champignon, de fleurs et de pousses de saison, il imite à la perfection un sous-bois mystérieux. Ensuite, les filets de perche Loë et leur moelleuse émulsion à l’oseille arrivent garnis d’un succulent citron confit, de caviar de citron au poivre et de pommes de terre de Muriaux. Fenouil au four et mousseline d’épinards sont fermes et fondants à la fois. En dessert, une délicate composition de rhubarbe et orange est élégamment complétée par un sorbet à la mandarine et un biscuit imbibé, et termine en apothéose une démonstration culinaire à la précision tout horlogère.
Dans le hameau du Boéchet, les vaches disputent la vedette au petit train rouge des Chemins de fer du Jura. Dans ce cadre champêtre, le Paysan Horloger rend hommage au temps où, après les travaux des champs, le paysan franc-montagnard devenait un horloger à son établi.
Bastien Meyrat officie en cuisine depuis trois ans en compagnie de son épouse. Le duo propose trois menus dégustation, dont un végétarien, ainsi que des mets à la carte. Les dressages sont superbes, le service est chaleureux, compétent et particulièrement soigné. Dès la mise en bouche, le ton est donné: saveurs et textures complémentaires ouvrent les festivités. La truite du Jura, fumée et naturelle, se décline en une craquante mini-tartelette, puis en gelée escortée d’un incroyable bonbon de chocolat aux foies de volaille valaisanne. Puis la panna cotta d’asperges du Valais, accompagnée de truite fumée de Soubey, d'un mesclun sauvage et de caviar de balsamique, est coiffée d’une chips de parmesan de chez Sterchi. Le «Jardin extraordinaire», lui, est un véritable tableau sorti tout droit d’un conte de fées. Composé de terre d’olives, de radis sculpté en forme de champignon, de fleurs et de pousses de saison, il imite à la perfection un sous-bois mystérieux. Ensuite, les filets de perche Loë et leur moelleuse émulsion à l’oseille arrivent garnis d’un succulent citron confit, de caviar de citron au poivre et de pommes de terre de Muriaux. Fenouil au four et mousseline d’épinards sont fermes et fondants à la fois. En dessert, une délicate composition de rhubarbe et orange est élégamment complétée par un sorbet à la mandarine et un biscuit imbibé, et termine en apothéose une démonstration culinaire à la précision tout horlogère.