La Contrée
A quelques tours de roues de Sierre, La Contrée vous accueille pour une promenade gourmande sur sa terrasse ombragée, avec vue sur l’entrée du val d’Anniviers en toile de fond, ou au café au mobilier patiné. L’accueil de Joëlle Berclaz est agréable et chaleureux pendant que Pierre, son mari et chef de cuisine, élabore des plats généreux teintés d’un esprit brasserie et des tartares réputés loin à la ronde.
La savoureuse et moelleuse terrine de lapin et son chutney faits maison ravissent les papilles. Tout aussi convaincante, la panna cotta de sérac de l’alpage des Scex est tout en légèreté, assaisonnée avec justesse et déposée sur une gelée aux herbettes du jardin. C’est coloré, rafraîchissant et décoré de légumes croquants. Le bavarois de ricotta de lait de brebis des Barmes ne demeure pas en reste avec son jambon cru au caractère bien affirmé. Parmi les tartares, spécialités de la maison, celui de poisson, coupé au couteau, est parfaitement assaisonné et agrémenté d’aromates du jardin. La portion est généreuse, les cubes de chair ont une belle consistance et de petites pommes allumettes maison parachèvent le tableau. On savoure.
Le chef ne donne pas dans les effets de dressage sophistiqué. On vient ici pour sa cuisine authentique, un brin canaille, ses plats carnés à la cuisson parfaitement maîtrisée, telle cette épaule d’agneau confite doucement aux épices orientales. La viande est tendre comme du beurre, imprégnée des saveurs de l’assaisonnement et joyeusement voyageuse avec son boulgour aux courgettes.
Le baba copieusement soûlé au rhum est une véritable délectation avec sa délicieuse mousse au mascarpone vanillée. Plus raisonnable pour qui reprend le vo
lant, le carpaccio d’abricots de Saxon à la verveine citronnée apporte une touche fruitée en guise de dessert.
Classée par cépages, la riche carte des vins fait naturellement la part belle aux producteurs valaisans, avec quelques clins d’œil vers d’autres régions viticoles suisses.


A quelques tours de roues de Sierre, La Contrée vous accueille pour une promenade gourmande sur sa terrasse ombragée, avec vue sur l’entrée du val d’Anniviers en toile de fond, ou au café au mobilier patiné. L’accueil de Joëlle Berclaz est agréable et chaleureux pendant que Pierre, son mari et chef de cuisine, élabore des plats généreux teintés d’un esprit brasserie et des tartares réputés loin à la ronde.
La savoureuse et moelleuse terrine de lapin et son chutney faits maison ravissent les papilles. Tout aussi convaincante, la panna cotta de sérac de l’alpage des Scex est tout en légèreté, assaisonnée avec justesse et déposée sur une gelée aux herbettes du jardin. C’est coloré, rafraîchissant et décoré de légumes croquants. Le bavarois de ricotta de lait de brebis des Barmes ne demeure pas en reste avec son jambon cru au caractère bien affirmé. Parmi les tartares, spécialités de la maison, celui de poisson, coupé au couteau, est parfaitement assaisonné et agrémenté d’aromates du jardin. La portion est généreuse, les cubes de chair ont une belle consistance et de petites pommes allumettes maison parachèvent le tableau. On savoure.
Le chef ne donne pas dans les effets de dressage sophistiqué. On vient ici pour sa cuisine authentique, un brin canaille, ses plats carnés à la cuisson parfaitement maîtrisée, telle cette épaule d’agneau confite doucement aux épices orientales. La viande est tendre comme du beurre, imprégnée des saveurs de l’assaisonnement et joyeusement voyageuse avec son boulgour aux courgettes.
Le baba copieusement soûlé au rhum est une véritable délectation avec sa délicieuse mousse au mascarpone vanillée. Plus raisonnable pour qui reprend le vo
lant, le carpaccio d’abricots de Saxon à la verveine citronnée apporte une touche fruitée en guise de dessert.
Classée par cépages, la riche carte des vins fait naturellement la part belle aux producteurs valaisans, avec quelques clins d’œil vers d’autres régions viticoles suisses.