
Il Mirtillo
Murs safran, nappes en lin et assiettes multicolores... C’est dans une belle auberge toscane ou de Portofino qu’Il Mirtillo nous transporte illico presto! C’est le patron, Paolo Venezian, qui assure l’accueil. La carte, elle, puise son inspiration dans nombre de provinces de la Botte. Pour démarrer, cap vers Naples avec ce «Fagottino di scarola», un chausson chaud de pâte brisée dans lequel la légère amertume de la scarole s’accommode fort bien d’une garniture d’olives, de pignons et de raisins secs. Proposée en suggestion du jour, la salade d’artichaut arrive assaisonnée d’huile d’olive, de citron et de tranches fines de parmesan. Autre proposition du jour, le calamar grillé, dont les tentacules et la chair sont dissociés pour affiner la cuisson de chaque partie, croustillants pour les premiers et tendres pour la seconde. Le tout est arrosé d’ail, de persil et d’huile d’olive et accompagné d’un écrasé de pommes de terre. C’est simple, délicieux. On notera que, ici, toutes les pâtes sont faites maison. Tendrissime, la «Scaloppine di vitello» est nappée d’une onctueuse sauce au citron. Un classique ici parfaitement maîtrisé. Seule ombre au tableau: les desserts. Ce soufflé à la vanille manquant cruellement de cuisson à cœur et ce «Nostro Monte Bianco» se résumant à quelques bris de meringue noyés sous de très banals vermicelles aux marrons, loin d’atteindre des sommets. La carte des vins, elle, est une ode à l’Italie.
Murs safran, nappes en lin et assiettes multicolores... C’est dans une belle auberge toscane ou de Portofino qu’Il Mirtillo nous transporte illico presto! C’est le patron, Paolo Venezian, qui assure l’accueil. La carte, elle, puise son inspiration dans nombre de provinces de la Botte. Pour démarrer, cap vers Naples avec ce «Fagottino di scarola», un chausson chaud de pâte brisée dans lequel la légère amertume de la scarole s’accommode fort bien d’une garniture d’olives, de pignons et de raisins secs. Proposée en suggestion du jour, la salade d’artichaut arrive assaisonnée d’huile d’olive, de citron et de tranches fines de parmesan. Autre proposition du jour, le calamar grillé, dont les tentacules et la chair sont dissociés pour affiner la cuisson de chaque partie, croustillants pour les premiers et tendres pour la seconde. Le tout est arrosé d’ail, de persil et d’huile d’olive et accompagné d’un écrasé de pommes de terre. C’est simple, délicieux. On notera que, ici, toutes les pâtes sont faites maison. Tendrissime, la «Scaloppine di vitello» est nappée d’une onctueuse sauce au citron. Un classique ici parfaitement maîtrisé. Seule ombre au tableau: les desserts. Ce soufflé à la vanille manquant cruellement de cuisson à cœur et ce «Nostro Monte Bianco» se résumant à quelques bris de meringue noyés sous de très banals vermicelles aux marrons, loin d’atteindre des sommets. La carte des vins, elle, est une ode à l’Italie.


