Hôtel Victoria
Ce gracieux petit palace des hauts de Montreux offre une vue époustouflante sur le Léman et la Savoie voisine. Les jardins et le parc invitent à la flânerie. L’intérieur, meublé et décoré de pièces de collection (mobilier cossu, argenterie étincelante et tableaux précieux), nous transporte au cœur de la Belle Epoque. La magie opère tout de suite.
A ce cadre riche de tradition répond une cuisine classique et sécurisante. Ainsi cette terrine de foie gras de canard onctueuse et fondante à laquelle des griottines apportent une pointe de fruité bienvenue. Tout aussi délectable, le marbré de poissons du Léman aux écrevisses et son mesclun de jeunes pousses est tout en fraîcheur.
Le filet d’omble chevalier à la plancha ravit par sa tendreté. Une fondue de poireaux d’été arrosée d’une savoureuse sauce au citron et herbettes du jardin escortent le poisson avec bonheur. Tout aussi abouti, le tian d’agneau de Sisteron est fondant et suave, nappé de son jus de cuisson. La fine ratatouille et les croustillants röstis forment un accompagnement harmonieux.
La palette de fromages préparée en cuisine aurait mérité un peu plus de soin au dressage. Pâtes dures et molles, fruits secs et cerneaux de noix se battent pour trouver une place sur une petite assiette.
L’assortiment de desserts du Victoria permet de choisir parmi les douceurs dressées sur le chariot, parmi lesquelles le saint-honoré et la délicieuse crème brûlée. Le parfait au moka et la marquise au chocolat sont simplement sublimes.
Le personnel de service, chaleureux et attentionné, virevolte entre les tables mais perd parfois un peu en efficacité. Heureusement, l’octogénaire patron, Toni Mittermair, a l’œil à tout et corrige les imperfections. Son fils Antoine, diplômé de l’Ecole hôtelière de Lausanne, le seconde et apporte une touche de jeunesse dans cette emblématique demeure. Très belle carte des vins avec quelques suggestions de crus au verre.


Ce gracieux petit palace des hauts de Montreux offre une vue époustouflante sur le Léman et la Savoie voisine. Les jardins et le parc invitent à la flânerie. L’intérieur, meublé et décoré de pièces de collection (mobilier cossu, argenterie étincelante et tableaux précieux), nous transporte au cœur de la Belle Epoque. La magie opère tout de suite.
A ce cadre riche de tradition répond une cuisine classique et sécurisante. Ainsi cette terrine de foie gras de canard onctueuse et fondante à laquelle des griottines apportent une pointe de fruité bienvenue. Tout aussi délectable, le marbré de poissons du Léman aux écrevisses et son mesclun de jeunes pousses est tout en fraîcheur.
Le filet d’omble chevalier à la plancha ravit par sa tendreté. Une fondue de poireaux d’été arrosée d’une savoureuse sauce au citron et herbettes du jardin escortent le poisson avec bonheur. Tout aussi abouti, le tian d’agneau de Sisteron est fondant et suave, nappé de son jus de cuisson. La fine ratatouille et les croustillants röstis forment un accompagnement harmonieux.
La palette de fromages préparée en cuisine aurait mérité un peu plus de soin au dressage. Pâtes dures et molles, fruits secs et cerneaux de noix se battent pour trouver une place sur une petite assiette.
L’assortiment de desserts du Victoria permet de choisir parmi les douceurs dressées sur le chariot, parmi lesquelles le saint-honoré et la délicieuse crème brûlée. Le parfait au moka et la marquise au chocolat sont simplement sublimes.
Le personnel de service, chaleureux et attentionné, virevolte entre les tables mais perd parfois un peu en efficacité. Heureusement, l’octogénaire patron, Toni Mittermair, a l’œil à tout et corrige les imperfections. Son fils Antoine, diplômé de l’Ecole hôtelière de Lausanne, le seconde et apporte une touche de jeunesse dans cette emblématique demeure. Très belle carte des vins avec quelques suggestions de crus au verre.