Hôtel Alpes et Lac
En face de la gare, l’Hôtel Alpes et Lac est un bel édifice en pierre de taille de 1872. Si la salle à manger avec son haut plafond et son parquet lustré a du charme, c’est la terrasse qui tient ici la vedette. Et justement, avec l’arrivée d’un nouveau directeur, le restaurant La Fugue vient de changer de nom: ce belvédère qui domine la ville et le lac s’appelle à présent La Terrasse. Si le nom a changé, c’est toujours Daniel Ventinhas qui veille sur les cuisines. Mais c’est dans de nouvelles assiettes qu’il dresse ses plats traditionnels (filets de perche, entrecôte Café de Paris…), volontiers locavores et teintés d’un aimable accent transalpin (ravioli del plin, parmigiana). Nous n’avons pas pu tester ce nouveau concept, d’où l’absence de note cette année. En revanche, au rayon sucré, on retrouve à la carte la pavlova aux fraises que nous avions dégustée lors de notre dernier passage et qui était déja fort bien exécutée. Belle carte des vins mettant en exergue les pinots neuchâtelois, dont ceux de Jacques Tatasciore, véritables trésors cantonaux!


En face de la gare, l’Hôtel Alpes et Lac est un bel édifice en pierre de taille de 1872. Si la salle à manger avec son haut plafond et son parquet lustré a du charme, c’est la terrasse qui tient ici la vedette. Et justement, avec l’arrivée d’un nouveau directeur, le restaurant La Fugue vient de changer de nom: ce belvédère qui domine la ville et le lac s’appelle à présent La Terrasse. Si le nom a changé, c’est toujours Daniel Ventinhas qui veille sur les cuisines. Mais c’est dans de nouvelles assiettes qu’il dresse ses plats traditionnels (filets de perche, entrecôte Café de Paris…), volontiers locavores et teintés d’un aimable accent transalpin (ravioli del plin, parmigiana). Nous n’avons pas pu tester ce nouveau concept, d’où l’absence de note cette année. En revanche, au rayon sucré, on retrouve à la carte la pavlova aux fraises que nous avions dégustée lors de notre dernier passage et qui était déja fort bien exécutée. Belle carte des vins mettant en exergue les pinots neuchâtelois, dont ceux de Jacques Tatasciore, véritables trésors cantonaux!