Gommerstuba
Depuis de nombreuses années, l’hospitalité et la gastronomie, mais également la culture, ont ici une grande importance.
Après quinze ans au service de son prédécesseur, Lars Dederscheck a pris son indépendance il y a cinq ans. La carte et le menu de sept plats sont saisonniers, renouvelés quatre fois par année. Le chef utilise autant que possible des produits de la région. Pas étonnant donc que la carte des vins soit composée exclusivement de crus valaisans.
Nous apprécions tout d’abord un omble chevalier fumé servi sur un tartare de tomates et d’avocat. Accompagnées de pastèque grillée, les coquilles Saint-Jacques sont également délicieuses. La noix de coco est malheureusement trop discrète dans la soupe de chou-fleur et de noix de coco. L’agneau en croûte d’herbes est excellent et cuit à la perfection, servi sur un «risotto» de fregola sarda. Suit une plaisante assiette de fromages constitué de plusieurs sortes de fromages régionaux servis sur une ardoise et accompagnés d’un choix de petits pains. Enfin, le dessert, comme l’année dernière, présente des abricots flambés accompagnés d’une glace à la crème acidulée et au gingembre. Malheureusement, les abricots sont trop acides et le gingembre à peine perceptible.


Depuis de nombreuses années, l’hospitalité et la gastronomie, mais également la culture, ont ici une grande importance.
Après quinze ans au service de son prédécesseur, Lars Dederscheck a pris son indépendance il y a cinq ans. La carte et le menu de sept plats sont saisonniers, renouvelés quatre fois par année. Le chef utilise autant que possible des produits de la région. Pas étonnant donc que la carte des vins soit composée exclusivement de crus valaisans.
Nous apprécions tout d’abord un omble chevalier fumé servi sur un tartare de tomates et d’avocat. Accompagnées de pastèque grillée, les coquilles Saint-Jacques sont également délicieuses. La noix de coco est malheureusement trop discrète dans la soupe de chou-fleur et de noix de coco. L’agneau en croûte d’herbes est excellent et cuit à la perfection, servi sur un «risotto» de fregola sarda. Suit une plaisante assiette de fromages constitué de plusieurs sortes de fromages régionaux servis sur une ardoise et accompagnés d’un choix de petits pains. Enfin, le dessert, comme l’année dernière, présente des abricots flambés accompagnés d’une glace à la crème acidulée et au gingembre. Malheureusement, les abricots sont trop acides et le gingembre à peine perceptible.