
Com'Ça
Autrefois atelier et échoppe d’un sellier, puis lieu de formation en cuisine, l’endroit en a gardé l’esprit créatif. Epicurien passionné par l’originalité des produits, leur traçabilité et leur histoire, Jean-Marc Dedeyne a fait de ce restaurant de poche avec vue sur la cuisine une étape incontournable. Pensez donc à réserver pour goûter aux délices préparés par Leonardo Bielsa et Susana Soares. Jean-Marc Dedeyne, lui, se charge du service avec attention et prévenance. Il conte à merveille le descriptif des plats et n’hésite pas à mettre la main à la pâte en cas de coup de feu. L’amuse-bouche composé d’une délicate meringue à la betterave et son coulis, d’un croustillant à la perche fumée et de rutabaga est prometteur. Le céleri rond déambule en millefeuille agrémenté d’un sabayon au vin jaune délectable. Le pain est délicieux, lui aussi. Puis, le sandre confit au cresson de fontaine et beurre blanc se marie parfaitement à la julienne d’endives à l’acidité bienvenue. On monte encore d’un cran avec les délicates ravioles, véritables petits bijoux aux topinambours. Les chips de lard de cochon des Alpes et l’œuf séché confèrent peps et couleur au plat. Le tout est arrosé d’un savoureux bouillon corsé. Un régal. Eclatante de couleurs, la côtelette d’agneau de Rossinière et son filet tendre et rosé s’accompagnent d’une fine purée de patates douces, de cœurs de cicorino poêlés et de chou noir. Pour terminer sur une note douce et fruitée sans excès de sucre, voici une symphonie d’agrumes, de crème catalane et d’émulsion au yogourt, rehaussée de praliné d’amandes et de zestes de cédrat confit. Le crumble apporte du croquant à l’affaire et une pointe d’oseille sauvage twiste le camaïeu orangé de son vert tonique. Tout est dans la finesse et la subtilité. Accords mets-vins riches en pépites vinicoles confidentielles.


Autrefois atelier et échoppe d’un sellier, puis lieu de formation en cuisine, l’endroit en a gardé l’esprit créatif. Epicurien passionné par l’originalité des produits, leur traçabilité et leur histoire, Jean-Marc Dedeyne a fait de ce restaurant de poche avec vue sur la cuisine une étape incontournable. Pensez donc à réserver pour goûter aux délices préparés par Leonardo Bielsa et Susana Soares. Jean-Marc Dedeyne, lui, se charge du service avec attention et prévenance. Il conte à merveille le descriptif des plats et n’hésite pas à mettre la main à la pâte en cas de coup de feu. L’amuse-bouche composé d’une délicate meringue à la betterave et son coulis, d’un croustillant à la perche fumée et de rutabaga est prometteur. Le céleri rond déambule en millefeuille agrémenté d’un sabayon au vin jaune délectable. Le pain est délicieux, lui aussi. Puis, le sandre confit au cresson de fontaine et beurre blanc se marie parfaitement à la julienne d’endives à l’acidité bienvenue. On monte encore d’un cran avec les délicates ravioles, véritables petits bijoux aux topinambours. Les chips de lard de cochon des Alpes et l’œuf séché confèrent peps et couleur au plat. Le tout est arrosé d’un savoureux bouillon corsé. Un régal. Eclatante de couleurs, la côtelette d’agneau de Rossinière et son filet tendre et rosé s’accompagnent d’une fine purée de patates douces, de cœurs de cicorino poêlés et de chou noir. Pour terminer sur une note douce et fruitée sans excès de sucre, voici une symphonie d’agrumes, de crème catalane et d’émulsion au yogourt, rehaussée de praliné d’amandes et de zestes de cédrat confit. Le crumble apporte du croquant à l’affaire et une pointe d’oseille sauvage twiste le camaïeu orangé de son vert tonique. Tout est dans la finesse et la subtilité. Accords mets-vins riches en pépites vinicoles confidentielles.


