
Ciro
Cette enseigne comporte deux locaux et deux portes séparées par une entrée d’immeuble. C’est la cuisine, à l’arrière, qui les réunit. Voilà qui surprend plus d’un visiteur, tout comme le personnel qui doit bien souvent aiguiller les hôtes vers la porte adéquate. L’ambiance est très italienne, avec des tables nappées de coton blanc et la lumière trop tamisée est ponctuée par les flashs des telefonini, les convives qui consultent la carte. Aux fourneaux depuis neuf ans, le patron, Ciro Ascione, mitonne une cuisine italienne haute en saveurs. On se régale de pouvoir partager les entrées comme les croustillants poulpes et haricots verts cuits en tempura, avec sauce aigre-douce, ou on savoure encore – des yeux et du palais – les artichauts braisés enrobés d’une mousseline de pommes de terre avec lamelles de truffe noire, tout comme l’assiette colorée qui marie tartare de langoustine (sur la carte, elle était entière!), tatin à l’oignon rouge de Tropea (en Calabre) et saladine. De même, les paccheri servis avec des morceaux de crevettes rouges sous une sauce à l’oursin et crème de pistache sont joliment présentés et fort goûteux. La fin nous laisse un peu perplexe: les bucatini all’amatriciana sont très chiches en joue de porc, tout comme le homard se révèle très discret dans les linguine à la tomate et burrata…. Belle offre de vins italiens pour nous faire patienter, car l’attente peut être bien longue.


Cette enseigne comporte deux locaux et deux portes séparées par une entrée d’immeuble. C’est la cuisine, à l’arrière, qui les réunit. Voilà qui surprend plus d’un visiteur, tout comme le personnel qui doit bien souvent aiguiller les hôtes vers la porte adéquate. L’ambiance est très italienne, avec des tables nappées de coton blanc et la lumière trop tamisée est ponctuée par les flashs des telefonini, les convives qui consultent la carte. Aux fourneaux depuis neuf ans, le patron, Ciro Ascione, mitonne une cuisine italienne haute en saveurs. On se régale de pouvoir partager les entrées comme les croustillants poulpes et haricots verts cuits en tempura, avec sauce aigre-douce, ou on savoure encore – des yeux et du palais – les artichauts braisés enrobés d’une mousseline de pommes de terre avec lamelles de truffe noire, tout comme l’assiette colorée qui marie tartare de langoustine (sur la carte, elle était entière!), tatin à l’oignon rouge de Tropea (en Calabre) et saladine. De même, les paccheri servis avec des morceaux de crevettes rouges sous une sauce à l’oursin et crème de pistache sont joliment présentés et fort goûteux. La fin nous laisse un peu perplexe: les bucatini all’amatriciana sont très chiches en joue de porc, tout comme le homard se révèle très discret dans les linguine à la tomate et burrata…. Belle offre de vins italiens pour nous faire patienter, car l’attente peut être bien longue.


