Brasserie Notre-Dame
Nouvelle venue sur la scène broyarde, la Brasserie Notre-Dame, à deux pas de l’abbatiale de Payerne, dont elle emprunte le nom, offre un cadre moderne et spacieux pour une cuisine savoureuse pleine de promesses. Le chef globe-trotteur Maxime Arnold, Alsacien d’origine, aime cuisiner de beaux morceaux de viande au Josper, un four à charbon de bois d’origine espagnole. Toutefois, ce n’est pas la seule corde à son arc puisqu’il prépare à merveille un généreux tartare de féra, agréablement rafraîchissant grâce à l’usage de pomme verte, de gin et de fenouil. De leur côté, les fines et salées ravioles tomate-fromage sont bien intenses mais légèrement trop cuites. Même cuisson juste un peu trop insistante pour un sandre rôti sur peau accompagné d’une délicate émulsion de sauge. De son côté, une gargantuesque poitrine de bœuf, dont la sauce sucrée-piquante rappelle les barbecues texans, impressionne, mais les légumes anciens qui l’accompagnent sont hélas en partie brûlés. Cela est oublié avec les desserts, dignes de ceux d’un pâtissier, à l’image de cette excellente et légère mousse de myrtilles, insert et biscuit à l’abricot, pralin feuillantine et chocolat blanc. Notons encore le bel effort pour proposer une intéressante carte des vins 100% suisse et des prix très doux.
Nouvelle venue sur la scène broyarde, la Brasserie Notre-Dame, à deux pas de l’abbatiale de Payerne, dont elle emprunte le nom, offre un cadre moderne et spacieux pour une cuisine savoureuse pleine de promesses. Le chef globe-trotteur Maxime Arnold, Alsacien d’origine, aime cuisiner de beaux morceaux de viande au Josper, un four à charbon de bois d’origine espagnole. Toutefois, ce n’est pas la seule corde à son arc puisqu’il prépare à merveille un généreux tartare de féra, agréablement rafraîchissant grâce à l’usage de pomme verte, de gin et de fenouil. De leur côté, les fines et salées ravioles tomate-fromage sont bien intenses mais légèrement trop cuites. Même cuisson juste un peu trop insistante pour un sandre rôti sur peau accompagné d’une délicate émulsion de sauge. De son côté, une gargantuesque poitrine de bœuf, dont la sauce sucrée-piquante rappelle les barbecues texans, impressionne, mais les légumes anciens qui l’accompagnent sont hélas en partie brûlés. Cela est oublié avec les desserts, dignes de ceux d’un pâtissier, à l’image de cette excellente et légère mousse de myrtilles, insert et biscuit à l’abricot, pralin feuillantine et chocolat blanc. Notons encore le bel effort pour proposer une intéressante carte des vins 100% suisse et des prix très doux.