Bad Schauenburg
Au digne Stübli, on peut préférer la magnifique terrasse en été. A l’intérieur comme à l’extérieur, la cuisine française classique du chef Francis Mandin et de sa brigade convainc. Mais cette année plus encore que d’habitude.
En amuse-bouche, le praliné de saumon, fromage de chèvre et courgette, enrobé de panure au pesto, est délicieux, subtilement équilibré. La ballottine de foie de canard, de première fraîcheur et habilement assaisonnée, brille par ses notes typiques; la gelée de rhubarbe aigre-douce ainsi que la brioche sucrée fraîchement sortie du four harmonisent l’ensemble. A peine grillé, le saumon Swiss Lachs est encore presque cru à cœur, servi avec des asperges vertes en éventail, de la mozzarella di bufala légèrement fumée ainsi qu’une crémeuse mousseline à l’avocat – un plat très accompli, merveilleusement léger. Grillées avec précision, les noix de Saint-Jacques convainquent par leur cœur frais et translucide, accompagnées de haricots blancs et d’une variation de chou-fleur. Une fois de plus, Mandin démontre ici son amour du détail avec une fine tranche de chou-fleur légèrement grillée, aux notes fumées, et garnie d’une aérienne émulsion au lard. Cuits avec une grande précision, les filets de sole sont servis avec des asperges blanches, des petits pois frais, de rafraîchissants radis ainsi qu’une mousseuse sauce au poisson légèrement assaisonnée de safran. Pousses de pourpier et anis complètent l’ensemble, tels de petits points d’exclamation aromatiques.
Comme de coutume, la conclusion est rafraîchissante avec un duo citronné – macaron et sorbet – agrémenté de baies fraîchement cueillies.
Ces dernières années, le propriétaire – l’entrepreneur de la chimie bâloise Peter Grogg – a mené à bien avec succès la rénovation de l’ensemble du complexe hôtelier. Dans l’ancienne grange, le restaurant Zum Schauenegg propose désormais une cuisine simple.


Au digne Stübli, on peut préférer la magnifique terrasse en été. A l’intérieur comme à l’extérieur, la cuisine française classique du chef Francis Mandin et de sa brigade convainc. Mais cette année plus encore que d’habitude.
En amuse-bouche, le praliné de saumon, fromage de chèvre et courgette, enrobé de panure au pesto, est délicieux, subtilement équilibré. La ballottine de foie de canard, de première fraîcheur et habilement assaisonnée, brille par ses notes typiques; la gelée de rhubarbe aigre-douce ainsi que la brioche sucrée fraîchement sortie du four harmonisent l’ensemble. A peine grillé, le saumon Swiss Lachs est encore presque cru à cœur, servi avec des asperges vertes en éventail, de la mozzarella di bufala légèrement fumée ainsi qu’une crémeuse mousseline à l’avocat – un plat très accompli, merveilleusement léger. Grillées avec précision, les noix de Saint-Jacques convainquent par leur cœur frais et translucide, accompagnées de haricots blancs et d’une variation de chou-fleur. Une fois de plus, Mandin démontre ici son amour du détail avec une fine tranche de chou-fleur légèrement grillée, aux notes fumées, et garnie d’une aérienne émulsion au lard. Cuits avec une grande précision, les filets de sole sont servis avec des asperges blanches, des petits pois frais, de rafraîchissants radis ainsi qu’une mousseuse sauce au poisson légèrement assaisonnée de safran. Pousses de pourpier et anis complètent l’ensemble, tels de petits points d’exclamation aromatiques.
Comme de coutume, la conclusion est rafraîchissante avec un duo citronné – macaron et sorbet – agrémenté de baies fraîchement cueillies.
Ces dernières années, le propriétaire – l’entrepreneur de la chimie bâloise Peter Grogg – a mené à bien avec succès la rénovation de l’ensemble du complexe hôtelier. Dans l’ancienne grange, le restaurant Zum Schauenegg propose désormais une cuisine simple.