Auberge du Chalet-des-Enfants
Aller au Chalet des Enfants est une aventure pas comme les autres. Après les bucoliques routes des bois du Jorat, voilà que s’ouvre une petite clairière champêtre. Au centre, quelques maisons et un grand potager laissent penser à un vieil ensemble fermier. Ce n’est pas tout faux, car le Chalet des Enfants est une «ferme-auberge», selon les mots de son patron, Romano Hasenauer. Et comme dans toute ferme, on y retrouve une cuisine simple et brute, mais savoureuse.
C’est d’abord la salle à manger, aux murs épais et au mobilier traditionnel en bois, qui charme le visiteur conquis. C’est ensuite la carte, emplie d’ingrédients de son terroir, qui donne un aperçu supplémentaire des engagements de l’équipe du Chalet: tous les produits viennent du jardin ou de chez les meilleurs producteurs de la région, et la qualité s’en ressent dans l’assiette. La terrine artisanale est magique, accompagnée de fraîches feuilles de salade coupée le jour même. Plus automnale, la soupe de courge, avec ses graines et son huile, est splendide, ses saveurs fabuleusement authentiques.
Ensuite, très simplement, la croûte aux champignons à la crème a un goût de vraie crème, celle que l’on va chercher le matin à la laiterie. L’ensemble est gourmand et se marie à merveille avec la délicate limonade «Forêt», elle aussi faite maison, évidemment. La salade de poulet, un peu trop simple peut-être, fait néanmoins découvrir une viande à la cuisson parfaitement maîtrisée.
Celui qui oserait quitter le Chalet sans déguster un dessert ferait une grande erreur: le crumble aux pruneaux est sans faute, et les glaces au lait de brebis d’un artisan vaudois accompagnent un café à la torréfaction maîtrisée. Les vins, peu nombreux, sont presque tous romands et sélectionnés chez les plus grands. On ne saurait non plus remercier assez l’équipe de service, tant l’accueil est souriant et met de bonne humeur. Pourquoi donc partir?
Aller au Chalet des Enfants est une aventure pas comme les autres. Après les bucoliques routes des bois du Jorat, voilà que s’ouvre une petite clairière champêtre. Au centre, quelques maisons et un grand potager laissent penser à un vieil ensemble fermier. Ce n’est pas tout faux, car le Chalet des Enfants est une «ferme-auberge», selon les mots de son patron, Romano Hasenauer. Et comme dans toute ferme, on y retrouve une cuisine simple et brute, mais savoureuse.
C’est d’abord la salle à manger, aux murs épais et au mobilier traditionnel en bois, qui charme le visiteur conquis. C’est ensuite la carte, emplie d’ingrédients de son terroir, qui donne un aperçu supplémentaire des engagements de l’équipe du Chalet: tous les produits viennent du jardin ou de chez les meilleurs producteurs de la région, et la qualité s’en ressent dans l’assiette. La terrine artisanale est magique, accompagnée de fraîches feuilles de salade coupée le jour même. Plus automnale, la soupe de courge, avec ses graines et son huile, est splendide, ses saveurs fabuleusement authentiques.
Ensuite, très simplement, la croûte aux champignons à la crème a un goût de vraie crème, celle que l’on va chercher le matin à la laiterie. L’ensemble est gourmand et se marie à merveille avec la délicate limonade «Forêt», elle aussi faite maison, évidemment. La salade de poulet, un peu trop simple peut-être, fait néanmoins découvrir une viande à la cuisson parfaitement maîtrisée.
Celui qui oserait quitter le Chalet sans déguster un dessert ferait une grande erreur: le crumble aux pruneaux est sans faute, et les glaces au lait de brebis d’un artisan vaudois accompagnent un café à la torréfaction maîtrisée. Les vins, peu nombreux, sont presque tous romands et sélectionnés chez les plus grands. On ne saurait non plus remercier assez l’équipe de service, tant l’accueil est souriant et met de bonne humeur. Pourquoi donc partir?