Auberge du Chalet-des-Enfants
Dès le printemps, on s’attable sous la pergola dans cette clairière où paissent quelques vaches. Dans ce restaurant historique dont les fondations datent du XIVe siècle, les familles et groupes d’amis peuvent aussi se réjouir du service, enjoué et attentif, et de la nourriture, évidemment.
Cuisine de produit par excellence, celle que l’on déguste au Chalet-des-Enfants est savoureuse et valorise le terroir du Jorat. Ainsi cette terrine de sanglier voluptueuse, cette simple salade verte du potager (1200 mètres carrés, juste devant la maison!) ou encore cette fraîche salade de lentilles et ses tranches de boutefas froid. Les patrons, David Donneaud et Romano Hasenauer, ont à cœur de se fournir chez des artisans locaux, c’est pourquoi la saucisse à rôtir – notamment – vient d’une boucherie située à 9 kilomètres de là. A l’instar de la parisienne de bœuf, qui s’accompagne de simples légumes fondants et d’excellentes pommes de terre grenailles parfaitement assaisonnées.
En saison, le risotto du Vully, lui, se présente à l’ail des ours et aux asperges. Il mériterait peut-être deux ou trois minutes de cuisson supplémentaires. Alors que l’on termine la douce limonade maison aux plantes de la forêt arrive une délicate et subtile crème brûlée à la reine-des-prés.
Dès le printemps, on s’attable sous la pergola dans cette clairière où paissent quelques vaches. Dans ce restaurant historique dont les fondations datent du XIVe siècle, les familles et groupes d’amis peuvent aussi se réjouir du service, enjoué et attentif, et de la nourriture, évidemment.
Cuisine de produit par excellence, celle que l’on déguste au Chalet-des-Enfants est savoureuse et valorise le terroir du Jorat. Ainsi cette terrine de sanglier voluptueuse, cette simple salade verte du potager (1200 mètres carrés, juste devant la maison!) ou encore cette fraîche salade de lentilles et ses tranches de boutefas froid. Les patrons, David Donneaud et Romano Hasenauer, ont à cœur de se fournir chez des artisans locaux, c’est pourquoi la saucisse à rôtir – notamment – vient d’une boucherie située à 9 kilomètres de là. A l’instar de la parisienne de bœuf, qui s’accompagne de simples légumes fondants et d’excellentes pommes de terre grenailles parfaitement assaisonnées.
En saison, le risotto du Vully, lui, se présente à l’ail des ours et aux asperges. Il mériterait peut-être deux ou trois minutes de cuisson supplémentaires. Alors que l’on termine la douce limonade maison aux plantes de la forêt arrive une délicate et subtile crème brûlée à la reine-des-prés.