
Auberge Communale
Installé ici depuis trois ans, le chef Fabien Pairon y a été, depuis, auréolé des titres de champion du monde du malakoff et de celui de l’œuf en meurette. Eclectique, ce palmarès résume à lui seul la cuisine de ce Bourguignon qui puise autant dans ses racines que dans le riche terroir vaudois. Animée par son épouse, Jennifer Pairon, aussi appliquée pour raconter les plats de son MOF de mari que pour conseiller les vins sélectionnés avec pertinence, la table de cette auberge communale séduit autant par sa cuisine que pour son accueil chaleureux. Alors oui, les malakoffs gruyère et vacherin fourrés de quelques grains de moutarde de Dijon, «crousti-coulants» à souhait, valent la peine qu’on les choisisse. Comme l’œuf en meurette et sa garniture bourguignonne, qu’on avoue avoir saucé jusqu’à la dernière goutte. Sur cette carte, la vingt-deuxième proposée par le chef depuis 2022, les filets de perche de Loë cuits simplement au beurre arrivent rehaussés de quelques escargots en persillade. Un plat terre et mer inattendu et séduisant. Le chou farci est un sommet de gourmandise: un dodu coussinet farci au porc rehaussé d’une pointe de foie gras. Il est accompagné par une pomme purée aérienne et par un jus de viande réduit auquel on songe encore avec envie. En conclusion, le tendre biscuit au miel, sa crème au citron et son crémeux au chocolat blanc sont un modèle d’équilibre sucré-acidulé.


Installé ici depuis trois ans, le chef Fabien Pairon y a été, depuis, auréolé des titres de champion du monde du malakoff et de celui de l’œuf en meurette. Eclectique, ce palmarès résume à lui seul la cuisine de ce Bourguignon qui puise autant dans ses racines que dans le riche terroir vaudois. Animée par son épouse, Jennifer Pairon, aussi appliquée pour raconter les plats de son MOF de mari que pour conseiller les vins sélectionnés avec pertinence, la table de cette auberge communale séduit autant par sa cuisine que pour son accueil chaleureux. Alors oui, les malakoffs gruyère et vacherin fourrés de quelques grains de moutarde de Dijon, «crousti-coulants» à souhait, valent la peine qu’on les choisisse. Comme l’œuf en meurette et sa garniture bourguignonne, qu’on avoue avoir saucé jusqu’à la dernière goutte. Sur cette carte, la vingt-deuxième proposée par le chef depuis 2022, les filets de perche de Loë cuits simplement au beurre arrivent rehaussés de quelques escargots en persillade. Un plat terre et mer inattendu et séduisant. Le chou farci est un sommet de gourmandise: un dodu coussinet farci au porc rehaussé d’une pointe de foie gras. Il est accompagné par une pomme purée aérienne et par un jus de viande réduit auquel on songe encore avec envie. En conclusion, le tendre biscuit au miel, sa crème au citron et son crémeux au chocolat blanc sont un modèle d’équilibre sucré-acidulé.


