Red Pepper
Surprise lors de notre dernière visite au Red Pepper! Au-delà de l’expérience culinaire que représente la cuisine asiatique, c’est un véritable dîner-spectacle qui attend ce soir-là les convives. Virevoltant autour des tables – malgré l’exiguïté des deux salles à manger – une artiste thaïlandaise nous fait découvrir en l’espace de quelques minutes les danses traditionnelles de son pays. Musique envoûtante, costume étincelant, mouvements gracieux: le dépaysement est total, l’ambiance garantie!
Kita Lambert, la propriétaire des lieux, sait recevoir et mettre à l’aise ses hôtes. Le chef Nirut Khonngan, lui, maîtrise une carte généreuse mais invariable. Pour avoir un tour d’horizon de la gastronomie thaïlandaise, le plateau royal s’avère une excellente option. Il y a là des rouleaux de printemps végétariens croustillants, des raviolis vapeur au porc multicolores, de généreux beignets de crevettes et de belles brochettes de poulet. Malgré une sauce au tamarin, les wraps aux crevettes, pousses de soja et menthe manquent en revanche de saveurs. La suite, le «Pad Med Mamuang», un émincé de bœuf au curry doux, oignons, poivrons et noix de cajou, est relevé comme annoncé. Plus puissant et légèrement citronné, le «Curry Panang», lait de coco, feuille de citron kaffir, est proposé au choix avec du bœuf, du canard, des crevettes géantes ou – plus original – des filets de baudroie passés à la friture. Un régal!
Les desserts restent classiques. Le «Khao Niao Mamuang», un riz gluant au lait de coco sucré, mangue de Thaïlande et glace coco, se distingue plus par son goût que par sa présentation minimaliste. Carte des vins franco-suisse avec quelques jolis crus du canton, dont certains sont disponibles au verre.
Surprise lors de notre dernière visite au Red Pepper! Au-delà de l’expérience culinaire que représente la cuisine asiatique, c’est un véritable dîner-spectacle qui attend ce soir-là les convives. Virevoltant autour des tables – malgré l’exiguïté des deux salles à manger – une artiste thaïlandaise nous fait découvrir en l’espace de quelques minutes les danses traditionnelles de son pays. Musique envoûtante, costume étincelant, mouvements gracieux: le dépaysement est total, l’ambiance garantie!
Kita Lambert, la propriétaire des lieux, sait recevoir et mettre à l’aise ses hôtes. Le chef Nirut Khonngan, lui, maîtrise une carte généreuse mais invariable. Pour avoir un tour d’horizon de la gastronomie thaïlandaise, le plateau royal s’avère une excellente option. Il y a là des rouleaux de printemps végétariens croustillants, des raviolis vapeur au porc multicolores, de généreux beignets de crevettes et de belles brochettes de poulet. Malgré une sauce au tamarin, les wraps aux crevettes, pousses de soja et menthe manquent en revanche de saveurs. La suite, le «Pad Med Mamuang», un émincé de bœuf au curry doux, oignons, poivrons et noix de cajou, est relevé comme annoncé. Plus puissant et légèrement citronné, le «Curry Panang», lait de coco, feuille de citron kaffir, est proposé au choix avec du bœuf, du canard, des crevettes géantes ou – plus original – des filets de baudroie passés à la friture. Un régal!
Les desserts restent classiques. Le «Khao Niao Mamuang», un riz gluant au lait de coco sucré, mangue de Thaïlande et glace coco, se distingue plus par son goût que par sa présentation minimaliste. Carte des vins franco-suisse avec quelques jolis crus du canton, dont certains sont disponibles au verre.