Le Rive Sud
Estavayer-le-Lac est une petite ville au charme sans pareil. Le Rive Sud permet d’en profiter, sur sa terrasse ombragée, dans sa véranda ou encore sous les imposantes poutres de la salle de cet ancien hôtel de ville. A peine la porte d’entrée entrouverte, une ambiance conviviale vous tend les bras. Carole et Bertrand Chardonnens sont aux commandes depuis près de treize ans et ils continuent à insuffler un air chaleureux et jovial à ce lieu.
On y découvre une cuisine simple et goûteuse, avec une pointe de sophistication. Il suffit de goûter ces asperges «de chez nous», nappées d’un œuf poché, assaisonnées par des bardes de lard de Colonnata et une touche de vinaigrette tiède, pour s’en rendre compte. Un plat tout en rondeur et en suavité. Les ris de veau croustillants, enrobés d’une discrète panure, s'harmonisent idéalement avec une sauce aux morilles puissante et rustique. Puis la côte de porc, nourrie au beurre à l’ail des ours, est délectable jusqu’à la couenne. Fenouil braisé et pommes de terre en millefeuille croustillant lui donnent la réplique.
L’agneau de Cheyres se décline en fines tranches rosées prélevées sur le quasi rôti et en effilochée d’épaule cuite lentement. Le tout est mouillé par un jus savoureux aux notes orientales. Les lentilles jaunes, le citron confit et le papadum finissent par emporter ce plat de Cheyres jusqu’à Bombay.
Au chapitre des desserts, le chef s’est amusé à déstructurer sa tartelette au citron «à peine revisitée». Le tour de main est plaisant et la crème citron un régal.
La carte des vins donne l’occasion de se familiariser avec de très bons crus de Cheyres.
Estavayer-le-Lac est une petite ville au charme sans pareil. Le Rive Sud permet d’en profiter, sur sa terrasse ombragée, dans sa véranda ou encore sous les imposantes poutres de la salle de cet ancien hôtel de ville. A peine la porte d’entrée entrouverte, une ambiance conviviale vous tend les bras. Carole et Bertrand Chardonnens sont aux commandes depuis près de treize ans et ils continuent à insuffler un air chaleureux et jovial à ce lieu.
On y découvre une cuisine simple et goûteuse, avec une pointe de sophistication. Il suffit de goûter ces asperges «de chez nous», nappées d’un œuf poché, assaisonnées par des bardes de lard de Colonnata et une touche de vinaigrette tiède, pour s’en rendre compte. Un plat tout en rondeur et en suavité. Les ris de veau croustillants, enrobés d’une discrète panure, s'harmonisent idéalement avec une sauce aux morilles puissante et rustique. Puis la côte de porc, nourrie au beurre à l’ail des ours, est délectable jusqu’à la couenne. Fenouil braisé et pommes de terre en millefeuille croustillant lui donnent la réplique.
L’agneau de Cheyres se décline en fines tranches rosées prélevées sur le quasi rôti et en effilochée d’épaule cuite lentement. Le tout est mouillé par un jus savoureux aux notes orientales. Les lentilles jaunes, le citron confit et le papadum finissent par emporter ce plat de Cheyres jusqu’à Bombay.
Au chapitre des desserts, le chef s’est amusé à déstructurer sa tartelette au citron «à peine revisitée». Le tour de main est plaisant et la crème citron un régal.
La carte des vins donne l’occasion de se familiariser avec de très bons crus de Cheyres.