La Réserve Genève Hotel, Spa and Villa
Ce ne sont pas moins de 35 plats que propose la carte du Loti. Sans compter les accompagnements, les sushis et les desserts. En lisant la carte, on voyage de la France au Japon, en passant par l’Italie et l’Espagne. Un éclectisme plébiscité par la clientèle internationale de La Réserve, véritable écrin de verdure aux abords de la ville où l’on picore dans une offre all day de 10 h à minuit. Après quelques olives et amandes en apéritif, au chapitre des entrées maritimes: un carpaccio de poulpe au citron, wasabi et aneth, une effilochée de tourteau dans un consommé parfumé au yuzu agrémenté de fleurs ainsi qu’un tartare de thon rouge posé sur un lit de cubes d’avocat en sauce ponzu parsemée de sésame et de coriandre sont trois starters délicieux et élégamment présentés. Côté terre, on déguste notamment un foie de veau poêlé assorti d’une grosse tête d’ail rôtie, un fondant coquelet désossé grillé au pistou et une côte de veau à la milanaise en belle croûte de panure et parmesan. En accompagnements, la purée de pommes de terre ne manque pas de beurre et la jardinière de légumes colorés offre un joli croquant. Généreux, tous ces plats se font attendre assez longtemps. Alors on termine tard, avec un vacherin glacé à la pêche blanche et un carpaccio d’ananas à la menthe et au citron vert, chacun surmonté d’une gracieuse glace en forme de rose. Ce voyage gustatif dans l’«atmosphère mystérieuse d’une jungle de fougères et de fleurs exotiques» a son prix, mais, contrairement au décor, il n’est pas factice.


Ce ne sont pas moins de 35 plats que propose la carte du Loti. Sans compter les accompagnements, les sushis et les desserts. En lisant la carte, on voyage de la France au Japon, en passant par l’Italie et l’Espagne. Un éclectisme plébiscité par la clientèle internationale de La Réserve, véritable écrin de verdure aux abords de la ville où l’on picore dans une offre all day de 10 h à minuit. Après quelques olives et amandes en apéritif, au chapitre des entrées maritimes: un carpaccio de poulpe au citron, wasabi et aneth, une effilochée de tourteau dans un consommé parfumé au yuzu agrémenté de fleurs ainsi qu’un tartare de thon rouge posé sur un lit de cubes d’avocat en sauce ponzu parsemée de sésame et de coriandre sont trois starters délicieux et élégamment présentés. Côté terre, on déguste notamment un foie de veau poêlé assorti d’une grosse tête d’ail rôtie, un fondant coquelet désossé grillé au pistou et une côte de veau à la milanaise en belle croûte de panure et parmesan. En accompagnements, la purée de pommes de terre ne manque pas de beurre et la jardinière de légumes colorés offre un joli croquant. Généreux, tous ces plats se font attendre assez longtemps. Alors on termine tard, avec un vacherin glacé à la pêche blanche et un carpaccio d’ananas à la menthe et au citron vert, chacun surmonté d’une gracieuse glace en forme de rose. Ce voyage gustatif dans l’«atmosphère mystérieuse d’une jungle de fougères et de fleurs exotiques» a son prix, mais, contrairement au décor, il n’est pas factice.