Hôtel le Rive
A un jet de pierre du lac, cette brasserie ne désemplit pas, l’été en terrasse encore plus que l’hiver. Corollaire de ce succès, un service totalement débordé. Côté cuisine, la carte évolue peu. Même les suggestions de saison sont identiques année après année. On y trouve néanmoins de quoi satisfaire une solide faim. Ainsi ce petit pot d’omble et de féra fumés à froid dans une huile parfumée, agrémenté d’une salade de pommes de terre. Un mets à la carte depuis l’ouverture de l’établissement qui aurait mérité un assaisonnement plus tonique. Le tout aussi traditionnel petit burger de foie gras chaud est joliment présenté. Mais on regrette la surcuisson du foie gras. La soupe de poissons de roche, elle, est bien goûteuse. Elle est servie avec trois énormes croûtons, une rouille délicieuse et un peu de fromage râpé.
Le cochon ibérique surcuit et sec en diable est servi avec quelques lamelles de chorizo, un petit pot de lentilles de Sauverny au curry tièdes et des pommes allumettes maison, ainsi qu’une sauce au choix qui ne nous a pas laissés sans voix. Même accompagnement pour le filet de canette des Dombes, heureusement servi rosé. Quant au tartare de bœuf, dont l’assaisonnement est laissé au choix des convives, il a fait l’unanimité. Côté desserts, on retiendra un exquis baba au rhum, copieusement arrosé.
A un jet de pierre du lac, cette brasserie ne désemplit pas, l’été en terrasse encore plus que l’hiver. Corollaire de ce succès, un service totalement débordé. Côté cuisine, la carte évolue peu. Même les suggestions de saison sont identiques année après année. On y trouve néanmoins de quoi satisfaire une solide faim. Ainsi ce petit pot d’omble et de féra fumés à froid dans une huile parfumée, agrémenté d’une salade de pommes de terre. Un mets à la carte depuis l’ouverture de l’établissement qui aurait mérité un assaisonnement plus tonique. Le tout aussi traditionnel petit burger de foie gras chaud est joliment présenté. Mais on regrette la surcuisson du foie gras. La soupe de poissons de roche, elle, est bien goûteuse. Elle est servie avec trois énormes croûtons, une rouille délicieuse et un peu de fromage râpé.
Le cochon ibérique surcuit et sec en diable est servi avec quelques lamelles de chorizo, un petit pot de lentilles de Sauverny au curry tièdes et des pommes allumettes maison, ainsi qu’une sauce au choix qui ne nous a pas laissés sans voix. Même accompagnement pour le filet de canette des Dombes, heureusement servi rosé. Quant au tartare de bœuf, dont l’assaisonnement est laissé au choix des convives, il a fait l’unanimité. Côté desserts, on retiendra un exquis baba au rhum, copieusement arrosé.