Château de Pleujouse
Cette bâtisse du XIe siècle, dressée sur un piton rocheux au cœur du pays des damassiniers, décline sa salle aux tons ocre, sa terrasse à l’ombre des marronniers et l’accueil chaleureux des châtelains, Catherine et Gérard Praud, qui ont à cœur de mettre en valeur les produits et artisans du terroir.
L’amuse-bouche arrive en trois bouchées: crémée de petits pois, saucisse d’Ajoie et fromage valaisan et truite saumonée à l’épine-vinette.
La carte poursuit ensuite sur le mode des trilogies en proposant trois entrées, trois plats, trois desserts, ainsi que trois menus à prix raisonnables (52, 72 et 95 francs).
Le menu «Les Coquereilles» ouvre les feux avec un succulent osso buco en ravioles laquées au miel de sapin d’Ajoie et relevées d’un velouté aux notes subtiles d’agrumes et graines d’or de Penja. Dans l’assiette voisine, un foie gras maison se déguste saupoudré de baies de Sarawak et réhaussé d’une soyeuse sauce à l’ail des ours.
La cuisson de la pièce de bœuf et du rôti de canette qui suivent est exemplaire. Et les chanterelles qui se mêlent aux jeunes légumes croquants sont vraiment excellentes.
On termine en beauté avec la glace «chou à la crème» donnant l’impression de croquer à pleines dents dans une pâtisserie généreuse. La compote de framboises mentholée la complète d’une note de fraîcheur. Les effeuillées de chocolat grand cru sont un peu sèches mais heureusement mariées à une amusante crème glacée aux pistils de safran et Carambar.
La carte des vins, bien étoffée, propose une large variété de crus suisses et français. Au moment du départ, l’attention portée par les châtelains aux convives donne le sourire et l’envie de revenir au plus vite découvrir leurs créations originales.


Cette bâtisse du XIe siècle, dressée sur un piton rocheux au cœur du pays des damassiniers, décline sa salle aux tons ocre, sa terrasse à l’ombre des marronniers et l’accueil chaleureux des châtelains, Catherine et Gérard Praud, qui ont à cœur de mettre en valeur les produits et artisans du terroir.
L’amuse-bouche arrive en trois bouchées: crémée de petits pois, saucisse d’Ajoie et fromage valaisan et truite saumonée à l’épine-vinette.
La carte poursuit ensuite sur le mode des trilogies en proposant trois entrées, trois plats, trois desserts, ainsi que trois menus à prix raisonnables (52, 72 et 95 francs).
Le menu «Les Coquereilles» ouvre les feux avec un succulent osso buco en ravioles laquées au miel de sapin d’Ajoie et relevées d’un velouté aux notes subtiles d’agrumes et graines d’or de Penja. Dans l’assiette voisine, un foie gras maison se déguste saupoudré de baies de Sarawak et réhaussé d’une soyeuse sauce à l’ail des ours.
La cuisson de la pièce de bœuf et du rôti de canette qui suivent est exemplaire. Et les chanterelles qui se mêlent aux jeunes légumes croquants sont vraiment excellentes.
On termine en beauté avec la glace «chou à la crème» donnant l’impression de croquer à pleines dents dans une pâtisserie généreuse. La compote de framboises mentholée la complète d’une note de fraîcheur. Les effeuillées de chocolat grand cru sont un peu sèches mais heureusement mariées à une amusante crème glacée aux pistils de safran et Carambar.
La carte des vins, bien étoffée, propose une large variété de crus suisses et français. Au moment du départ, l’attention portée par les châtelains aux convives donne le sourire et l’envie de revenir au plus vite découvrir leurs créations originales.