Auberge du Mouton
Récemment rénovée, l’historique Auberge du Mouton fait face au château de Porrentruy depuis 1715. A la lueur des bougies à la nuit tombée, l’ambiance feutrée, à la nordique, est accentuée par le contraste entre parquet de bois et murs blancs et gris perle. Dans la salle de cette ancienne école, point de devoirs sur la grande ardoise murale, juste la carte des vins ouverts qui promeut la viticulture suisse. Ici le mot d’ordre est «peu mais bien» et la carte va à l’essentiel avec ses trios d’entrées, de plats et de desserts. Elle est complétée par un menu unique qui nous emmène dans une jolie «Balade hivernale» signée par le nouveau chef, David Vigo, seul en cuisine, qui fait preuve d’audace et de créativité. On se met donc en route avec un risotto crémeux surmonté de salsifis rôtis parfaitement fondants, noix de cajou grillées, le tout généreusement parsemé de copeaux de truffe. Le carpaccio de Saint-Jacques délicatement posé sur une crème de chou-fleur et décoré de touches de fruit de la passion est un vrai plaisir visuel et surprenant de fraîcheur.
Suit une nouvelle halte colorée avec ce dos de cabillaud sauvage rehaussé d’un jus au chorizo dominant un écrasé de pommes de terre et des brocolis cuisinés à l’amande. La sauce au porto du fondant filet de bœuf est un vrai bonheur et les panisses qui l’accompagnent sont aussi croustillantes à l’extérieur que fondantes à cœur.
Le crumble à l’orange mériterait un effort de présentation supplémentaire, l’entremets au chocolat et fruit de la passion est une explosion de saveurs et de fraîcheur!
Service attentif et souriant.


Récemment rénovée, l’historique Auberge du Mouton fait face au château de Porrentruy depuis 1715. A la lueur des bougies à la nuit tombée, l’ambiance feutrée, à la nordique, est accentuée par le contraste entre parquet de bois et murs blancs et gris perle. Dans la salle de cette ancienne école, point de devoirs sur la grande ardoise murale, juste la carte des vins ouverts qui promeut la viticulture suisse. Ici le mot d’ordre est «peu mais bien» et la carte va à l’essentiel avec ses trios d’entrées, de plats et de desserts. Elle est complétée par un menu unique qui nous emmène dans une jolie «Balade hivernale» signée par le nouveau chef, David Vigo, seul en cuisine, qui fait preuve d’audace et de créativité. On se met donc en route avec un risotto crémeux surmonté de salsifis rôtis parfaitement fondants, noix de cajou grillées, le tout généreusement parsemé de copeaux de truffe. Le carpaccio de Saint-Jacques délicatement posé sur une crème de chou-fleur et décoré de touches de fruit de la passion est un vrai plaisir visuel et surprenant de fraîcheur.
Suit une nouvelle halte colorée avec ce dos de cabillaud sauvage rehaussé d’un jus au chorizo dominant un écrasé de pommes de terre et des brocolis cuisinés à l’amande. La sauce au porto du fondant filet de bœuf est un vrai bonheur et les panisses qui l’accompagnent sont aussi croustillantes à l’extérieur que fondantes à cœur.
Le crumble à l’orange mériterait un effort de présentation supplémentaire, l’entremets au chocolat et fruit de la passion est une explosion de saveurs et de fraîcheur!
Service attentif et souriant.