Bombar
Au Bombar, on mange au bar pour une petite croque rapide ou assis à l’une des petites tables où l’on est un peu à l’étroit. Mais c’est sympa et ça correspond bien à l’atmosphère bistrot de copains du lieu. La clientèle est plutôt jeune, urbaine, décontractée et le service à l’avenant: avec ce qu’il faut de décontraction pour être cordial et ce qu’il faut de professionnalisme pour être efficace. La carte des mets est courte: 12 plats, fromage et desserts compris. Elle est conçue sur le mode des tapas, des assiettes que l’on peut commander en vrac et partager. La carte des vins propose des pépites et d’excellents vins nature.
On commence par une rafraîchissante assiette froide de petits pois et asperges vertes, accompagnés d’une excellente ricotta et soulignés avec pertinence par quelques feuilles de menthe. Les bouchées à la reine sont confectionnées avec des ris de veau cuits à la perfection et mis en valeur par une sauce onctueuse et légère. Les «Spaghetti alla chitarra, nero di seppia e seppia» étaient ce jour-là des bucatini, un peu trop al dente et difficiles à enrouler (gare à votre chemise, cela peut s’avérer délicat avec la sauce à l’encre de seiche). L’entrecôte, elle, est excellente, mais la sauce Café de Paris n’est qu’une lointaine cousine du fameux beurre inventé à Genève en 1930. Passons sur les desserts sans grand intérêt, un gâteau noisettes et praliné un peu étouffe-bougre, heureusement accompagné d’une excellente glace au yogourt et d’une compotée rhubarbe, fraises, crumble et cannelle éclipsée par la trop généreuse crème.
Au Bombar, on mange au bar pour une petite croque rapide ou assis à l’une des petites tables où l’on est un peu à l’étroit. Mais c’est sympa et ça correspond bien à l’atmosphère bistrot de copains du lieu. La clientèle est plutôt jeune, urbaine, décontractée et le service à l’avenant: avec ce qu’il faut de décontraction pour être cordial et ce qu’il faut de professionnalisme pour être efficace. La carte des mets est courte: 12 plats, fromage et desserts compris. Elle est conçue sur le mode des tapas, des assiettes que l’on peut commander en vrac et partager. La carte des vins propose des pépites et d’excellents vins nature.
On commence par une rafraîchissante assiette froide de petits pois et asperges vertes, accompagnés d’une excellente ricotta et soulignés avec pertinence par quelques feuilles de menthe. Les bouchées à la reine sont confectionnées avec des ris de veau cuits à la perfection et mis en valeur par une sauce onctueuse et légère. Les «Spaghetti alla chitarra, nero di seppia e seppia» étaient ce jour-là des bucatini, un peu trop al dente et difficiles à enrouler (gare à votre chemise, cela peut s’avérer délicat avec la sauce à l’encre de seiche). L’entrecôte, elle, est excellente, mais la sauce Café de Paris n’est qu’une lointaine cousine du fameux beurre inventé à Genève en 1930. Passons sur les desserts sans grand intérêt, un gâteau noisettes et praliné un peu étouffe-bougre, heureusement accompagné d’une excellente glace au yogourt et d’une compotée rhubarbe, fraises, crumble et cannelle éclipsée par la trop généreuse crème.