Au Vieux Navire
Embarquer dans le séculaire Vieux Navire, à Buchillon, c’est se plonger dans l’ambiance d’une belle brasserie avec ses tables nappées de blanc, le zinc de son comptoir où trône le seau de bouteilles de champagne, le cuivre étincelant de sa machine à café, son sol patiné comme un pont de navire et les miroirs aux murs qui font scintiller ce cadre.
Ce sont les filets de perche qui ont fait la réputation de la maison, déclinés en diverses façons, jusqu’à les marier au champagne. Mais la carte d’Anthony Gilson, le nouveau chef, recèle d’autres pépites telles que cet exotique homard et sa bisque, le coquelet royal flambé ou encore les fameuses crêpes Suzette qui s'enflamment de table en table en fin de soirée.
L’accueil chaleureux et la valse des serveurs qui prodiguent de précieux conseils sont les prémices d’un agréable moment.
En entrée, l'œuf mollet façon meurette, sur son confit d’oignons et de champignons nappés d’un joli jus bourguignon, fait une belle impression. C’est également le cas des noix de Saint-Jacques, juste snackées, agrémentées d’un onctueux de brocoli et d’une réduction de clémentines, avec de belles textures en bouche même si l’amertume des agrumes était vraiment très présente.
En plat, on retrouve la classique sole sauvage entière grillée, saisie à la perfection, avec sa sauce hollandaise ou meunière. Si la noix de ris de veau poêlée, aux amandes effilées, sur une compotée d’oignons et son jus grand-mère, a tout d’une belle promesse, la douceur de sa sauce, avec ses senteurs épicées, déçoit par une certaine lourdeur.
Le réconfort viendra de ce pain brioché «royal» façon «pain perdu», avec une compotée d’ananas et une quenelle de glace à la vanille Bourbon, arrosé de rhum. Une réussite gourmande.
Comme une suite logique de la carte des mets, les vins proposés sont exhaustifs et généreux, avec une belle place pour le domaine Paccot de Féchy.
Embarquer dans le séculaire Vieux Navire, à Buchillon, c’est se plonger dans l’ambiance d’une belle brasserie avec ses tables nappées de blanc, le zinc de son comptoir où trône le seau de bouteilles de champagne, le cuivre étincelant de sa machine à café, son sol patiné comme un pont de navire et les miroirs aux murs qui font scintiller ce cadre.
Ce sont les filets de perche qui ont fait la réputation de la maison, déclinés en diverses façons, jusqu’à les marier au champagne. Mais la carte d’Anthony Gilson, le nouveau chef, recèle d’autres pépites telles que cet exotique homard et sa bisque, le coquelet royal flambé ou encore les fameuses crêpes Suzette qui s'enflamment de table en table en fin de soirée.
L’accueil chaleureux et la valse des serveurs qui prodiguent de précieux conseils sont les prémices d’un agréable moment.
En entrée, l'œuf mollet façon meurette, sur son confit d’oignons et de champignons nappés d’un joli jus bourguignon, fait une belle impression. C’est également le cas des noix de Saint-Jacques, juste snackées, agrémentées d’un onctueux de brocoli et d’une réduction de clémentines, avec de belles textures en bouche même si l’amertume des agrumes était vraiment très présente.
En plat, on retrouve la classique sole sauvage entière grillée, saisie à la perfection, avec sa sauce hollandaise ou meunière. Si la noix de ris de veau poêlée, aux amandes effilées, sur une compotée d’oignons et son jus grand-mère, a tout d’une belle promesse, la douceur de sa sauce, avec ses senteurs épicées, déçoit par une certaine lourdeur.
Le réconfort viendra de ce pain brioché «royal» façon «pain perdu», avec une compotée d’ananas et une quenelle de glace à la vanille Bourbon, arrosé de rhum. Une réussite gourmande.
Comme une suite logique de la carte des mets, les vins proposés sont exhaustifs et généreux, avec une belle place pour le domaine Paccot de Féchy.