Au Coin du Bar
Ambiance bistrot de style Art déco ou bouchon lyonnais, chacun aura son interprétation de la décoration du lieu, mais, quoi qu’il en soit, c’est joli, c’est sympa et l’accueil est chaleureux. Le beau bar en zinc de l’entrée et les murs de catelles à la frise en grappes de raisin ne laissent pas de doute: nous sommes chez des amateurs de vin, et il est bon! Ici, pas de carte, on descend à la cave pour choisir parmi les nombreux flacons de toutes les provenances et pour toutes les bourses, et on ramène sa trouvaille à table sans façon. La carte, présentée sur une ardoise, est courte, une dizaine de plats tous plus alléchants les uns que les autres. On y trouve par exemple une entrecôte double avec une sauce chimichurri tout à fait dans l’esprit des lieux ou encore un gravlax mariné à la betterave doux comme un nuage. Le saumon, souligné d’un beau liseré pourpre profond, se prélasse au milieu de quelques pointes de betterave et d’avocat, qui lui apportent des notes de fraîcheur bien agréables. L’omble est servi mi-cuit, surmonté d’un spectaculaire dôme de fenouil et accompagné d’une gourmande émulsion au lard et de quelques pointes d’huile de fanes de carotte. Suggestion du jour, les ris de veau sont impeccables: ils arrivent croustillants et dorés, ponctués d’un jus sapide et accompagnés de fines tranches de céleri grillées et d’une délicieuse purée de céleri. Côté desserts, saluons ce croustillant de noisettes du Piémont surmonté d’une forêt de pointes de crémeux au citron absolument délicieux et une tatin aux abricots.
Ambiance bistrot de style Art déco ou bouchon lyonnais, chacun aura son interprétation de la décoration du lieu, mais, quoi qu’il en soit, c’est joli, c’est sympa et l’accueil est chaleureux. Le beau bar en zinc de l’entrée et les murs de catelles à la frise en grappes de raisin ne laissent pas de doute: nous sommes chez des amateurs de vin, et il est bon! Ici, pas de carte, on descend à la cave pour choisir parmi les nombreux flacons de toutes les provenances et pour toutes les bourses, et on ramène sa trouvaille à table sans façon. La carte, présentée sur une ardoise, est courte, une dizaine de plats tous plus alléchants les uns que les autres. On y trouve par exemple une entrecôte double avec une sauce chimichurri tout à fait dans l’esprit des lieux ou encore un gravlax mariné à la betterave doux comme un nuage. Le saumon, souligné d’un beau liseré pourpre profond, se prélasse au milieu de quelques pointes de betterave et d’avocat, qui lui apportent des notes de fraîcheur bien agréables. L’omble est servi mi-cuit, surmonté d’un spectaculaire dôme de fenouil et accompagné d’une gourmande émulsion au lard et de quelques pointes d’huile de fanes de carotte. Suggestion du jour, les ris de veau sont impeccables: ils arrivent croustillants et dorés, ponctués d’un jus sapide et accompagnés de fines tranches de céleri grillées et d’une délicieuse purée de céleri. Côté desserts, saluons ce croustillant de noisettes du Piémont surmonté d’une forêt de pointes de crémeux au citron absolument délicieux et une tatin aux abricots.