Fin du pop-up. Damien Germanier déteste ce terme, alors voilà une nouvelle qui va le réjouir: son pop-up à l'Auberge de Rivaz (VD), c'est fini. Enfin, façon de parler. De manière pérenne, le chef valaisan va signer les plats de ce restaurant sur les bords du Léman, ce qui met fin, par définition, à l'appellation pop-up. Il va désormais partager son temps entre cette adresse et son vaisseau-mère, le restaurant Basique, à Sion. (Grande photo ci-dessus: le chef Damien Germanier en compagnie de Stéphanie et Jacques Staempfli, les propriétaires de l'Auberge de Rivaz).
Le resto de son mariage. Lorsque Damien Germanier était arrivé dans cet établissement du Lavaux tenu par ses amis Jacques et Stéphanie Staempfli, en janvier, c'était pour une pige temporaire. Le chef venait donner un coup de main avec une nouvelle équipe, et comptait rester jusqu'à l'été. Sans fermer la porte à une éventuelle prolongation. Le voilà donc en résidence permanente à cette adresse vaudoise où il s'est marié.
Chassés-Croisés. «On s'entend super bien, le spot est magnifique et je pense qu'il y a encore plein de choses à faire à Rivaz», commente le chef, qui précise «partir sur du long terme». Damien Germanier devrait y être présent deux à trois jours par semaine, le reste à Sion. En son absence, il peut compter sur deux sous-chefs, Axel Schrag à l'Auberge, et Julien Gaussares à Sion.
Photos: Sédrik Nemeth