Indian Rasoi
Que ce soit dans la charmante salle qui donne sur la rue Jacques-Dalphin, dans le vieux Carouge, ou sur la délicieuse terrasse, on aime s’attabler à l’Indian Rasoi pour y manger une cuisine indienne qui fait honneur aux classiques tout en les revisitant avec subtilité.
Le chef, Kuldeep Rawat, qui s’était fait connaître dans un cinq-étoiles genevois, fait preuve d’une belle constance, aussi bien dans les subtils assaisonnements que dans les présentations originales.
Le diable se cachant dans les détails, on apprécie d’emblée que les deux délicieux chutneys qui accompagnent les papadums soient faits maison et qu’on puisse puiser dans une jolie sélection de vins genevois au verre pour les accompagner.
Les moelleux samosas fourrés aux légumes arrivent accompagnés d’une purée de pois chiches bien épicée. Les brochettes d’agneau haché sont un vrai régal, une explosion de saveurs, et les sauces qui les accompagnent relèvent agréablement l’ensemble.
Le classique poulet korma est subtilement dosé entre curry et mélange de noix. Leur saveur ressort dans la sauce onctueuse qui enrobe un poulet de première qualité. Quant à l’agneau rogan josh, il surprend par ses notes de safran, moins habituelles que le gingembre dans ce plat. L’ensemble se révèle particulièrement harmonieux.
Petit bémol: les naans semblent avoir attendu un peu trop longtemps sous la lampe.
Les desserts sont plutôt une concession à l’Europe. Si on ne peut s’en passer, on se dispensera en revanche du naan au Nutella et, pour un peu plus d’authenticité, on optera pour le gulab jamun, une sorte de savoureux baba à l’indienne, ou pour un moelleux cheesecake à la mangue.
La carte des vins propose de bons crus genevois. On regrettera cependant que le service soit peu concerné et se montre avare en conseils, que ce soit pour les vins ou pour les mets.
Que ce soit dans la charmante salle qui donne sur la rue Jacques-Dalphin, dans le vieux Carouge, ou sur la délicieuse terrasse, on aime s’attabler à l’Indian Rasoi pour y manger une cuisine indienne qui fait honneur aux classiques tout en les revisitant avec subtilité.
Le chef, Kuldeep Rawat, qui s’était fait connaître dans un cinq-étoiles genevois, fait preuve d’une belle constance, aussi bien dans les subtils assaisonnements que dans les présentations originales.
Le diable se cachant dans les détails, on apprécie d’emblée que les deux délicieux chutneys qui accompagnent les papadums soient faits maison et qu’on puisse puiser dans une jolie sélection de vins genevois au verre pour les accompagner.
Les moelleux samosas fourrés aux légumes arrivent accompagnés d’une purée de pois chiches bien épicée. Les brochettes d’agneau haché sont un vrai régal, une explosion de saveurs, et les sauces qui les accompagnent relèvent agréablement l’ensemble.
Le classique poulet korma est subtilement dosé entre curry et mélange de noix. Leur saveur ressort dans la sauce onctueuse qui enrobe un poulet de première qualité. Quant à l’agneau rogan josh, il surprend par ses notes de safran, moins habituelles que le gingembre dans ce plat. L’ensemble se révèle particulièrement harmonieux.
Petit bémol: les naans semblent avoir attendu un peu trop longtemps sous la lampe.
Les desserts sont plutôt une concession à l’Europe. Si on ne peut s’en passer, on se dispensera en revanche du naan au Nutella et, pour un peu plus d’authenticité, on optera pour le gulab jamun, une sorte de savoureux baba à l’indienne, ou pour un moelleux cheesecake à la mangue.
La carte des vins propose de bons crus genevois. On regrettera cependant que le service soit peu concerné et se montre avare en conseils, que ce soit pour les vins ou pour les mets.