The Alpina Gstaad
Au Megu, la dégustation de saké décline Junmai Daiginjo, Kimoto Junmai, Daiginjo Muroka Genshu et Dassai 39. Les petits verres s’alignent sur la table. C’est convivial et passionnant. Et pour ce qui figure dans les assiettes, les chefs japonais de la maison bénéficient du soutien du chef exécutif Martin Göschel. Le restaurant est donc presque toujours complet, souvent deux fois par soir.
Pour commencer, les cubes de wagyu sont merveilleux et chauds. La sauce est généreusement pimentée. Un œuf poché complète le tout avec bonheur. Vous ne maîtrisez pas les baguettes? Une cuillère vient en renfort. Puis le carpaccio de Saint-Jacques en sauce soja au yuzu arrive tout en élégance, servi frais comme en été. Le daïkon (radis) lui tient compagnie tout comme – et surtout! – le caviar royal belge, qualité «impériale». Les nouilles hiyashi udon froides ne remportent pas tous les suffrages: un bol XXL de pâtes froides (à base de blé) assorties d’une omelette japonaise, de tofu et de tomates provenant du jardin du marchand de légumes local, Dani von Siebenthal.
On poursuit avec une petite soupe aux boulettes de langoustine qui nagent dans un merveilleux bouillon végétarien de shiitakés, finement réduit. Quant à la fine pâte des boulettes, elle recèle une véritable langoustine d’Afrique du Sud. Un plat coup de foudre! Suit une queue de homard en sauce aux prunes fermentées, trop dominante. Le plat principal décline une dégustation de poitrine de porc. Elle arrive croustillante, une fois japonaise, une fois chinoise. A la place du grand menu «Omakase», vous pouvez bien entendu commander à la carte. Et là, nous avons pour vous deux conseils: le carpaccio de limande jaune magnifiquement préparé avec sa vinaigrette kanzuri, et le poulet nanban qui repose toute une nuit dans une marinade sophistiquée avant d’être servi avec une «sauce tartare japonaise» (mayo, oignon, gingembre, piment). Superbe!
Le Megu compte un deuxième chef qui est dans la maison depuis l’ouverture: le maître sushi Tsutomu Kugota. Dans le Saanenland, son fan-club est énorme. Les énormes plateaux de sushis et de sashimis sont donc servis à une table sur deux. Nous vous recommandons la «Sélection du chef»: 21 petits chefs-d’œuvre! A moins de préférer la «Sélection de luxe»: chutoro, otoro, foie gras, caviar osciètre. Le chef Kugota les prépare en silence, avec concentration et perfection.
Au Megu, la dégustation de saké décline Junmai Daiginjo, Kimoto Junmai, Daiginjo Muroka Genshu et Dassai 39. Les petits verres s’alignent sur la table. C’est convivial et passionnant. Et pour ce qui figure dans les assiettes, les chefs japonais de la maison bénéficient du soutien du chef exécutif Martin Göschel. Le restaurant est donc presque toujours complet, souvent deux fois par soir.
Pour commencer, les cubes de wagyu sont merveilleux et chauds. La sauce est généreusement pimentée. Un œuf poché complète le tout avec bonheur. Vous ne maîtrisez pas les baguettes? Une cuillère vient en renfort. Puis le carpaccio de Saint-Jacques en sauce soja au yuzu arrive tout en élégance, servi frais comme en été. Le daïkon (radis) lui tient compagnie tout comme – et surtout! – le caviar royal belge, qualité «impériale». Les nouilles hiyashi udon froides ne remportent pas tous les suffrages: un bol XXL de pâtes froides (à base de blé) assorties d’une omelette japonaise, de tofu et de tomates provenant du jardin du marchand de légumes local, Dani von Siebenthal.
On poursuit avec une petite soupe aux boulettes de langoustine qui nagent dans un merveilleux bouillon végétarien de shiitakés, finement réduit. Quant à la fine pâte des boulettes, elle recèle une véritable langoustine d’Afrique du Sud. Un plat coup de foudre! Suit une queue de homard en sauce aux prunes fermentées, trop dominante. Le plat principal décline une dégustation de poitrine de porc. Elle arrive croustillante, une fois japonaise, une fois chinoise. A la place du grand menu «Omakase», vous pouvez bien entendu commander à la carte. Et là, nous avons pour vous deux conseils: le carpaccio de limande jaune magnifiquement préparé avec sa vinaigrette kanzuri, et le poulet nanban qui repose toute une nuit dans une marinade sophistiquée avant d’être servi avec une «sauce tartare japonaise» (mayo, oignon, gingembre, piment). Superbe!
Le Megu compte un deuxième chef qui est dans la maison depuis l’ouverture: le maître sushi Tsutomu Kugota. Dans le Saanenland, son fan-club est énorme. Les énormes plateaux de sushis et de sashimis sont donc servis à une table sur deux. Nous vous recommandons la «Sélection du chef»: 21 petits chefs-d’œuvre! A moins de préférer la «Sélection de luxe»: chutoro, otoro, foie gras, caviar osciètre. Le chef Kugota les prépare en silence, avec concentration et perfection.