Maruzzella
Sur une artère très fréquentée d’un quartier périphérique de Bienne, derrière un portail, se cache une petite oasis: le
Maruzzella. Isabel Johner et Wilfried Köster y travaillent avec pour devise «petit, fin et vivant». Celle-ci s’applique aussi bien au rustique restaurant d’une vingtaine de places, à la charmante cour intérieure qu’au menu et à la carte des vins. Deux menus simples sont proposés à midi, alors que, le soir, le menu de cinq plats est facturé 104 francs (en variante végétarienne pour 94 francs).
Avec sa prometteuse entrée – une estivale salade de tomates et de pastèque –, le chef Wilfried Köster donne une illustration de sa créativité: diverses variétés de tomates, une purée de tomates épicée et de la pastèque, harmonieusement combinées avec des noisettes, du mole vert et de la burrata fumée. Les raviolis de veau sont moins convaincants et pas très tendres, mais leur sauce au céleri-branche, persil et citron est délicieuse. En plat principal, un suprême de pintade agrémenté d’un épais jus au miel et au thym arrive avec un accompagnement estival composé d’olives, de poivrons et de figues.
Jolie sélection de fromages inattendus. Et pour terminer, le dessert convainc: une composition framboises-pêches intègre chocolat, croquant et savoureuse compote de pêches au romarin. Compétent, le service est agréablement dirigé par Isabel Johner.


Sur une artère très fréquentée d’un quartier périphérique de Bienne, derrière un portail, se cache une petite oasis: le
Maruzzella. Isabel Johner et Wilfried Köster y travaillent avec pour devise «petit, fin et vivant». Celle-ci s’applique aussi bien au rustique restaurant d’une vingtaine de places, à la charmante cour intérieure qu’au menu et à la carte des vins. Deux menus simples sont proposés à midi, alors que, le soir, le menu de cinq plats est facturé 104 francs (en variante végétarienne pour 94 francs).
Avec sa prometteuse entrée – une estivale salade de tomates et de pastèque –, le chef Wilfried Köster donne une illustration de sa créativité: diverses variétés de tomates, une purée de tomates épicée et de la pastèque, harmonieusement combinées avec des noisettes, du mole vert et de la burrata fumée. Les raviolis de veau sont moins convaincants et pas très tendres, mais leur sauce au céleri-branche, persil et citron est délicieuse. En plat principal, un suprême de pintade agrémenté d’un épais jus au miel et au thym arrive avec un accompagnement estival composé d’olives, de poivrons et de figues.
Jolie sélection de fromages inattendus. Et pour terminer, le dessert convainc: une composition framboises-pêches intègre chocolat, croquant et savoureuse compote de pêches au romarin. Compétent, le service est agréablement dirigé par Isabel Johner.