La Maison Rouge
Sise à la rue des Noirettes et entourée d’immeubles sans charme, la Maison Rouge est un de ces lieux improbables qui ont tout pour attirer l’œil. Depuis que le talentueux jeune chef Kevin Veronese a repris les commandes des fourneaux de cette jolie bâtisse en 2020, les gourmands s’y pressent pour déguster une cuisine gourmande et colorée. Après avoir effectué ses premiers pas en pâtisserie, le chef a fait le choix d’intégrer des brigades par amour du coup de feu. Il a affûté ses armes au Cheval Blanc et à la Fumisterie, à Carouge, ainsi que dans la restauration collective avant de poser ses valises ici.
Sa carte est une ode à la mer et à la terre. Les végétariens y trouvent toujours une suggestion spéciale également. En guise d’entrée en matière, l’œuf parfait cuit à 64°C est rehaussé d’une succulente et généreuse crème aux morilles. Le gravlax de dorade à la mangue est une merveille de fraîcheur, agrémenté d’une mousseline d’avocat et de lamelles d’oignon confit.
Le filet de canette est servi rosé avec un divin jus maison aux fruits rouges, des carottes et des pommes grenailles. Le chef, qui tient à ne rien jeter, va jusqu’à sublimer les fanes de carottes en gel.
On applaudit ces noix de Saint-Jacques snackées à la perfection et ce petit jus de veau maison au calamansi. Joliment présentée, l’assiette arbore de petites sommités de chou-fleur multicolores et une goûteuse purée de patates douces. Quelques feuilles de riz frites ajoutent une touche croquante à ce plat.
Pour le dessert, nous avons jeté notre dévolu sur un baba à la verveine et sa compotée de pêches blanches marinées au lait d’amandes avec une quenelle de sorbet à la pêche de vigne. La texture du baba ne nous a pas laissés sans voix. Seul petit bémol d’un superbe repas accompagné de jolis crus soigneusement choisis par l’épouse du chef, qui a fait ses gammes à Changins.
Sise à la rue des Noirettes et entourée d’immeubles sans charme, la Maison Rouge est un de ces lieux improbables qui ont tout pour attirer l’œil. Depuis que le talentueux jeune chef Kevin Veronese a repris les commandes des fourneaux de cette jolie bâtisse en 2020, les gourmands s’y pressent pour déguster une cuisine gourmande et colorée. Après avoir effectué ses premiers pas en pâtisserie, le chef a fait le choix d’intégrer des brigades par amour du coup de feu. Il a affûté ses armes au Cheval Blanc et à la Fumisterie, à Carouge, ainsi que dans la restauration collective avant de poser ses valises ici.
Sa carte est une ode à la mer et à la terre. Les végétariens y trouvent toujours une suggestion spéciale également. En guise d’entrée en matière, l’œuf parfait cuit à 64°C est rehaussé d’une succulente et généreuse crème aux morilles. Le gravlax de dorade à la mangue est une merveille de fraîcheur, agrémenté d’une mousseline d’avocat et de lamelles d’oignon confit.
Le filet de canette est servi rosé avec un divin jus maison aux fruits rouges, des carottes et des pommes grenailles. Le chef, qui tient à ne rien jeter, va jusqu’à sublimer les fanes de carottes en gel.
On applaudit ces noix de Saint-Jacques snackées à la perfection et ce petit jus de veau maison au calamansi. Joliment présentée, l’assiette arbore de petites sommités de chou-fleur multicolores et une goûteuse purée de patates douces. Quelques feuilles de riz frites ajoutent une touche croquante à ce plat.
Pour le dessert, nous avons jeté notre dévolu sur un baba à la verveine et sa compotée de pêches blanches marinées au lait d’amandes avec une quenelle de sorbet à la pêche de vigne. La texture du baba ne nous a pas laissés sans voix. Seul petit bémol d’un superbe repas accompagné de jolis crus soigneusement choisis par l’épouse du chef, qui a fait ses gammes à Changins.