Brasserie Café l'Indus
Une maisonnette qui rappelle le Far West, un bar logé dans un bus à impériale rouge comme à Londres, un jardin de simples comme à Berlin et une piste de pétanque comme à Cassis, cet insolite Indus est une vraie perle.
La carte est à l’avenant, avec sa planchette de cochon pour l’apéro, mais aussi avec le menu qui lui est dédié, car il ne s’agit pas de n’importe quel cochon! L’élevage se trouve sur place (géré par Eric Affolter), où il y a des cochonnets mi-laineux, mi-roses, nous raconte l’enthousiaste serveur.
Et à la carte? Il y a ces jolies asperges qui entourent un œuf de ferme servi en mimosa au goût de reviens-y. Puis la truite du Jura marinée au Fran-gin (gin local) arrive nappée d’une sauce aigre-douce à l’épicéa, une jolie composition.
On se pâme ensuite devant la sauce mousseuse au poivre de Tasmanie de l’impeccable merlu et devant ses jolis légumes. Et on apprécie une canette, un peu ferme certes, mais goûteuse, avec son excellent accompagnement de betterave en déclinaison rouge intense. Les desserts sont superbes. Ainsi les fraises en fine meringue au safran et miel de pissenlit ou la rhubarbe confite qui s’accompagne d’un joli financier, d’une glace parfaite à l’amande et de crème à la bergamote de Niels Rodin.
On précise que tout cela est proposé au prix imbattable de 69 francs pour une entrée, un plat et un dessert. Et que les propositions de vins au verre sont plus que plaisantes. Bref, on adore!


Une maisonnette qui rappelle le Far West, un bar logé dans un bus à impériale rouge comme à Londres, un jardin de simples comme à Berlin et une piste de pétanque comme à Cassis, cet insolite Indus est une vraie perle.
La carte est à l’avenant, avec sa planchette de cochon pour l’apéro, mais aussi avec le menu qui lui est dédié, car il ne s’agit pas de n’importe quel cochon! L’élevage se trouve sur place (géré par Eric Affolter), où il y a des cochonnets mi-laineux, mi-roses, nous raconte l’enthousiaste serveur.
Et à la carte? Il y a ces jolies asperges qui entourent un œuf de ferme servi en mimosa au goût de reviens-y. Puis la truite du Jura marinée au Fran-gin (gin local) arrive nappée d’une sauce aigre-douce à l’épicéa, une jolie composition.
On se pâme ensuite devant la sauce mousseuse au poivre de Tasmanie de l’impeccable merlu et devant ses jolis légumes. Et on apprécie une canette, un peu ferme certes, mais goûteuse, avec son excellent accompagnement de betterave en déclinaison rouge intense. Les desserts sont superbes. Ainsi les fraises en fine meringue au safran et miel de pissenlit ou la rhubarbe confite qui s’accompagne d’un joli financier, d’une glace parfaite à l’amande et de crème à la bergamote de Niels Rodin.
On précise que tout cela est proposé au prix imbattable de 69 francs pour une entrée, un plat et un dessert. Et que les propositions de vins au verre sont plus que plaisantes. Bref, on adore!